Mon blog utilise des cookies pour améliorer votre navigation. En continuant votre navigation, vous en acceptez l'utilisation OK En savoir plus

vendredi 24 octobre 2025

Découvertes musicales

Bonjour (ou bonsoir selon l'heure de votre arrivée sur cet article),

Ça fait longtemps que je n'avais pas fait d'article musicale. J'ai décidé de vous en présenter deux dans l'ordre de sortie qui représentent ce que j'ai besoin d'écouter actuellement mais aux énergies différentes :

JACKSON WANG

Cet artiste a sorti un album solo en juillet qui se nomme "Magicman 2" qui fait suite à son précédent portant le nom "magicman". J'avais adoré ce dernier. Parmi les titres de cet album, je vous glisse le clip de mon titre préféré :
 

Ses clips sont fait de manière à ne pas avoir besoin d'explications. Magicman est son avatar qui est évolue à chaque titres. Je vous mets ci-dessous le premier clip du dernier album :
 

 

SONG SO HEE

Cette chanteuse coréenne est une artiste indépendante loin des idoles. Elle a une voix impressionnante dont la maîtrise est parfaite. Pour vous dire, elle a repris la chanson "arirang" qui est une chanson traditionnelle de la Corée du Sud. Je pensais faire une article sur elle seulement mais c'est compliqué. Les recherches la confondent avec une actrice coréenne. Honnêtement, je me suis abonnée à son compte instagram qu'à la suite de son album sortie le 22 octobre 2025.
 

La vidéo ci-dessous fait partie du premier album que j'ai découvert et que j'écoute toujours surtout quand j'ai besoin de calme. On est dans la chanson traditionnelle coréenne totalement mais elle a réussi à moderniser le genre avec son dernier album "Re:5" en date dont je mets le clip en-dessous du clip sorti mercredi 
 
 

Voilà pour aujourd'hui et j'espère, une bonne écoute.
 

mercredi 22 octobre 2025

Le meurtre d'Alice de Yasumi Kobayashi

Le meurtre d'Alice de Yasumi Kobayashi
Auteur : Yasumi Kobayashi
Maison d'édition : d'Est en ouest
Date de sortie : 6 Septembre 2016
ISBN : 9784990874612
Pages : 276
Prix : 18

Résumé

Alice est suspectée de meurtre au Pays des Merveilles. Les crimes se multiplient et se répercutent dans le monde réel, au sein d’une université japonaise. Petit à petit, Alice se sent menacée tout comme Ari Kurisugawa, une des étudiantes du campus. Deux mondes mystérieusement liés dans lesquels se cache un meurtrier expert en faux-semblants. Alice et Ari parviendront-elles à le démasquer et à sortir indemnes de cette histoire qui frise la folie ?

Entre polar et fantastique, ce roman évolue dans le dédale de l’univers de Lewis Carroll. Un polar atypique qui vous fera découvrir, sous la plume d’un auteur reconnu au Japon, un pan inédit de la littérature japonaise contemporaine.


MON AVIS : Dans ce roman, vous voyagerez entre le monde des rêves et le monde réel. Ari est dans la peau de Alice lorsqu'elle rêve. Problème : un meurtre a été commis au pays des merveilles et Alice est suspectée. Dans le monde réel, un élève a été retrouvé mort dans des circonstances similaires. Très vite, Ari comme Alice comprennent que les deux mondes sont liés.
 
L'auteur utilise l'univers de Lewis Caroll à la perfection. On retrouve tous les personnages emblématiques un chapitre sur deux : le chapelier fou, le lièvre de Mars, la duchesse ou encore le lapin blanc au pays des merveilles. Les autres chapitres se passent dans un campus avec Ari entre autre. Je ne dirai pas grand chose concernant l'histoire afin de vous laisser la surprise.
 
L'auteur respecte vraiment l'œuvre qui l'a inspiré. On trouve essentiellement des dialogues. Je ne m'attarderai pas sur ceux se déroulant au pays des merveilles. Concernant ceux du monde réel, ils permettent de mieux comprendre le lien entre les deux mondes. Le but est de prouvé l'innocence de Alice. J'ai été des plus surprises par les révélations. Mes pronostics étaient totalement différents.

En bref, ce roman rappelle tout ce qu'on aime dans "Alice au pays des merveilles" amenant le polar dans cet univers. L'alliance est parfaitement réussi et surprenante...jusqu'au bout. Ce roman est le premier de la série "Meurtres dans les contes".
 
Je remercie la maison d'édition pour ce service presse.

mercredi 15 octobre 2025

Fahrenheit 451 de Ray Bradbury

Fahrenheit 451 de Ray Bradbury
Auteur : Ray Bradbury
Maison d'édition : Folio
Date de sortie : 3 Septembre 2020
ISBN : 9782072892950
Pages : 240
Prix : 6,30

Résumé : 451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s’enflamme et se consume.
Dans cette société future où la lecture est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres, dont la détention est interdite.
Le pompier Montag se met pourtant à rêver d’un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l’imaginaire au profit d’un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement poursuivi par une société qui désavoue son passé.

MON AVIS : Qui n'a pas entendu parler de ce livre! C'est un grand classique de la science fiction. Tout le monde le recommande et le considère comme intemporel. Je ne sais pas pourquoi j'ai attendu tant de temps avant de le lire. Peut-être cette édition spéciale que j'ai vu en rayon. Cette couverture correspond parfaitement au contenu de ce livre.

On suit, dans le futur, un pompier nommé Montag. Dans le monde proposé par l'auteur, les pompiers ont pour objectif de brûler tous les livres. Autant dire que pour la grande lectrice que je suis, c'est horrible pour moi. Montag fait très bien son travail mais sa rencontre avec sa jeune voisine va attiser sa curiosité. Cette jeune fille ne se comporte pas comme la société le voudrait. Montag s'attache à elle.

À partir de là, on découvre que lui-même, par curiosité, à sauver quelques livres des flammes. Après avoir lu un livre, c'est comme une drogue. Il va poursuivre et rêver d'un monde différent. On est dans une dystopie publiée en 1953 en version original. Pourtant, il n'a pas pris une ride et encore moins à l'heure actuelle. Quand on voit aujourd'hui le nombre de livres censurés non seulement aux États-Unis mais également en France, il est encore plus important de remettre ce roman en avant. 

J'ai adoré le personnage de Clarisse. Elle est rafraichissante dans cet univers pour le moins froid. Tout le reste est bien réglé et vide de sens. Il ne faudrait pas que les gens s'extasient ou expriment des émotions trop fortes et surtout qu'ils puissent penser différemment. Raison pour laquelle les livres sont interdits. On ne sait d'ailleurs pas ce qui arrive aux personnes qui sont accusées d'en posséder même si on le devine. Elles disparaissent du jour au lendemain. 

Le livre est parfaitement construit. La plume est juste et l'auteur est clair dans ses propos. Aucun doute possible. L'évolution de Montag est l'exemple parfait montrant l'importance de la lecture et de la diversité. Mon seul regret réside dans la fin que j'ai trouvé un peu longue bien qu'elle soit importante. Les références à la seconde guerre mondiale sont évidemment nombreuses. En écrivant mon avis, j'ai feuilleté à nouveau le livre pour vérifier quelques choses. Ce livre est également une critique du monde superficiel dans lequel nous sommes. Je l'écris au présent parce qu'aujourd'hui, on est encore plus en plein dedans : les réseaux sociaux, les apparences qui ont pris le pas sur la réflexion et tant d'autres choses.

En bref, ce texte est fondamental. Il devrait être lu par tout le monde surtout à l'école. Je comprends pourquoi il est si souvent mentionné et l'importance qu'il revêt. Je ne peux que vous le recommander. En l'ouvrant maintenant, je pense qu'il mérite une seconde lecture. Probablement qu'il y a un autre niveau de lecture.

vendredi 10 octobre 2025

Texto de Dmitry Glukhovsky

Texto de Dmitry Glukhovsky

Auteur : Dmitry Glukhovsky
Maison d'édition : Atalante
Date de sortie : 24 Janvier 2019
ISBN : 9782841728862
Pages : 400
Prix : 24,50

Résumé : Il est des gens qui laissent une trace derrière eux, et il y a ceux dont il ne reste rien.Le smartphone sait tout de nous : notre quotidien, nos vices, nos amours, nos espoirs, nos secrets inavouables. Mon smartphone est moi. Si quelqu'un s'en empare, il devient moi aux yeux de tous. Le temps que l'imposture soit découverte, il est trop tard. Pour tout le monde.


MON AVIS : J'ai découvert ce roman par le biais de Corn8lius, booktubeur, qui en a dit tant de bien que j'ai voulu tenté le coup. C'est la première fois que je lis un roman de ce genre. Commençons par l'histoire.

Ilya est un jeune homme qui s'est retrouvé en prison à tort pendant sept ans. Lorsqu'il en sort, il ne souhaite que vivre normalement en commençant par retrouver sa mère. Rien ne va se passer comme il le pensait. D'abord confronté au décès de sa mère puis au refus de son ex petite amie de le voir, il va perdre pied lorsqu'il va croiser la personne à l'origine de son incarcération, Petia, un officier des stup véreux. Submergé par les émotions, il va le tuer et récupérer son téléphone. À partir de là, il va devoir se faire passer pour cet homme.

La particularité de ce livre réside dans le fait qu'on se doute de la fin. L'idée est de connaître le chemin parcouru par Ilya. Si vous cherchez des émotions, oubliez. Ce roman en est dénué. C'est une analyse d'une époque et d'un pays au-delà du personnage. On peut, à la limite, être en empathie face à ce qu'il traverse mais c'est tout. Je ne suis pas habituée à ce type d'ouvrage. J'ai eu besoin d'un moment adaptation et de comprendre l'ambiance. Ça m'a un peut déstabilisé.

Outre la dénonciation de la corruption évidente, on découvre le visage de la Russie sous un angle nouveau. Certes, on en connaît tous certains aspects mais ça va bien au-delà. On découvre la façon de vivre, le fait que les citoyens ne soient pas dupes et le manque d'empathie. On y ressent une sorte de chacun pour soi assez effrayant.

En parallèle, Ilya se fait passer pour Petia en utilisant uniquement le smartphone de sa victime. L'auteur montre à quel point ces bijoux de technologies peuvent être dangereux selon comment on les utilise. On va, dans le même temps, en apprendre plus sur l'officier. On nous montre qu'on ne sait rien sur les gens qui nous entourent. En effet, Ilya va fouiller de fond en comble dans le téléphone de sa victime. C'est effrayant de voir à quel point il s'en sort juste avec les informations qu'il a. Je m'arrête là mais j'avais peur que le livre soit trop long. Honnêtement, pas du tout. C'était parfaitement calculé.

En bref, ce roman m'a poussé à m'interroger sur l'utilisation abusive des nouvelles technologies et de la confiance aveugle que l'on a en elle. Ce livre, après un début un peu lent logique, était addictif. On ne veut savoir qu'une chose : jusqu'où les choses vont aller et surtout comme tout va se terminer.

mercredi 8 octobre 2025

Fille du destin tome 1 de Kika Hatzopoulou

Autrice : Kika Hatzopoulou
Maison d'édition : La martinière
Date de sortie : 26 Janvier 2024
ISBN : 9791040116660
Pages : 416
Prix : 20

Résumé :

Dans un monde où les humains et les héritiers des dieux cohabitent, Io, descendante d’une divinité du Destin, doit résoudre une série de crimes afin de sauver sa famille, sa ville, et son âme-sœur.
A Alante, la cohabitation est difficile entre les humains et les héritiers des dieux. Minoritaires, ces derniers sont traités en parias. Io, descendante de l'une des déesse du Destin, peine à joindre les deux bouts. Capable de déceler les fils de vie de chacun, elle utilise ses pouvoirs de née-moire pour mener des enquêtes sans envergure... jusqu'au jour où sa vie bascule : Io assiste à un meurtre. Un meurtre perpétré par une femme au fil de vie coupé. Impossible. Impensable. Chargée de résoudre ce mystère plus politique qu'il n'y paraît, Io est forcée de travailler avec celui qu'elle fuit depuis des années : Edei Rhuna, avec qui elle partage un fil d'argent, le désignant comme son âme-sœur...

MON AVIS : On suit Io. Elle a deux sœurs. Elles sont les descendantes des filles du destin et Io a hérité de la capacité de détecter les fils de vie. Elle n'aime pas son don. D'autant qu'elle connaît le nom de son âme-sœur qu'elle fuit du mieux qu'elle peut jusqu'au jour où elle assiste à un meurtre commis par une femme au fil de vie coupé. Elle va être chargé de résoudre ce meurtre avec son âme-sœur Edei Rhuna.

Je ne m'attendais à rien de particulier avec ce roman et j'ai été des plus surprises. Déjà on suit une descendante du destin, ce qui change pas mal. Io est intelligente et gentille. Peut-être trop. Mais si on la cherche trop, elle peut se montrer beaucoup plus dure. Au contact de Edei, elle va évoluer. Il fait partie de l'équivalent de la mafia. Je vous laisse imaginer son fonctionnement. 

J'ai été agréablement surprise par l'intrigue loin de ce que j'imaginais. Il y a eu tant de romans avec de la mythologie que je pensais ne pas trouver d'originalité. C'est tout le contraire qui s'est passé. Même quand on pense avoir compris, on en découvre encore. Je comprends qu'il y ait un tome 2. On a besoin d'autres réponses. Ce roman se résumé à ne vous fiez pas aux apparences. Il faut le vouloir pour me surprendre.

En bref, j'ai adoré ce premier tome. L'autrice ne se contente pas de nous présenter l'univers. Elle propose vraiment une intrigue surprenante et plus complexe qu'il n'y paraît. La romance n'est qu'en filigrane. Je n'ai rien vu venir. La suite m'attend dans ma PAL. 

vendredi 3 octobre 2025

Ashura girl de Ôtarô Maijô

Ashura girl de Ôtarô Maijô

Auteur : Ôtarô Maijo
Maison d'édition : d'est en ouest
Date de sortie : 26 Octobre 2023
ISBN : 9782487164000
Pages : 248
Prix : 20

Résumé

Aiko s’en veut terriblement d’avoir cédé à Sano, expérience nulle et humiliante. Le coït s’est conclu sur un spécial kick d’Aiko, il ne l’aura pas volé ! 
Comme par hasard, le lendemain, Sano a disparu et ses copines accusent Aiko… de quoi exactement ? D’avoir couché avec lui ? De l’avoir laissé la queue entre les jambes ? De l’avoir… tué ? 
Marre de ces filles débiles qui disent n’importe quoi, marre aussi de ces réseaux sociaux qui attisent la violence, après cette histoire de démon tueur d’enfants !

Au cœur du chaos, Aiko se rend compte que celui qu’elle aime vraiment était là depuis le début.

Finalement il n’y a que l’amour…

Un voyage initiatique complètement déjanté, dans la tête d’une lycéenne japonaise glamour-punk-rock. Aiko et son alter ego, Chastin, se répondent dans une esthétique à double face, de Tarantino à Miyazaki. Un roman extrême, provocateur et déroutant, qui inaugure la collection étrange.


MON AVIS : Si vous pensez lire un livre écrit dans le style japonais qu'on connaît, oubliez tout de suite. Je n'ai rien trouvé de tel ici. On est dans l'étrange la plus absolu que j'ai pu lire jusqu'ici. Je vous mets au défi de m'en proposer un qui pourrait faire concurrence.

On est dans la tête de Aiko, une adolescente avec son franc parlé qui peut être déconcertant et bousculer. Elle regrette d'avoir passé la nuit avec Sano. Ce dernier a disparu le lendemain. Je ne donnerai pas de détails. Le mieux est de découvrir le peu que l'on sait. Le roman est découpé en trois partis accompagnés d'une nouvelle à la fin.

La plume de l'auteur est surprenante. On passe d'une écriture digne d'une ado à une écriture posée et belle. Chacune reflète un personnage et sa personnalité. L'histoire est complètement dingue. On ne sait pas quel passage sera le plus surprenant, improbable ou glauque. J'en profite pour alerter sur une partie qui est particulièrement glauque donc âme sensible s'abstenir. 

Plus on avance dans ce roman et plus on plonge dans l'histoire. J'avais l'impression d'avoir un film sous les yeux. J'étais curieuse d'avoir le fin de l'histoire. Je ne m'attendais pas du tout à ce que j'ai lu. J'ai trouvé l'idée brillante même si je conçois qu'elle puisse déconcerter.

En bref, ce livre inaugure parfaitement la collection étrange de la maison d'édition. Je suis totalement sortie de ma zone de confort avec ce roman mélangeant les genres littéraires, un peu barré par moment mais aux réflexions très intéressantes.

Je remercie la maison d'édition pour ce service presse.

mercredi 1 octobre 2025

Née tissée de Laura Lutard

Née tissée de Laura Lutard
Poétesse : Laura Lutard
Maison d'édition : Bruno Doucey
Date de sortie : 22 Août 2025
ISBN : 978-2-36229-531-7
Pages : 144
Prix : 16

RésuméAu bord du bord, le premier livre de poésie de Laura Lutard, donnait à lire le portrait d’une « orpheline amoureuse ». Avec Née tissée, son deuxième recueil, elle nous entraîne aux sources de son métissage. Parce qu’elle porte en elle des origines contrastées – une mère métisse, un père blanc –, et qu’elle a « le tain double », la poétesse interroge les eaux mêlées de son identité. Mieux elle porte un regard souvent acerbe sur la relation qui a présidé à sa naissance et scrute sans complaisance le clair-obscur des unions mixtes et des tensions entre les êtres. Les dysfonctionnements de notre société, les préjugés, la mémoire de l’esclavage et l’incessant retour du racisme dans nos vies trouvent un écho sous la plume de cette poétesse qui pense le métissage comme une voie pour l’humanité : celle de cesser de lire le monde en noir et blanc.

MON AVIS : Merci à la maison d'édition et à Babelio.
Le premier recueil de Laura Lutard m'avait touché en plein cœur. Je l'ai lu trois fois au moment où j'écris ces lignes. Je n'ai pas su résister à tenter ma chance de lire ce nouveau livre. On change de thème totalement puisqu'elle aborde le métissage. Et par ce biais d'autres thèmes de société. Cela implique de dévoiler des épisodes de sa vie.
 
J'adore la poésie pour les émotions que ça procure. On sent la colère très présente, l'injustice et la nostalgie. Les thèmes qu'elle aborde ne peuvent qu'amener ces émotions : elle parle énormément du racisme et des différentes formes de discriminations bien plus nombreuses et courantes qu'on ne le croit surtout au quotidien. Le féminisme et les violences intra-familiales sont également très présents. 
 
En bref, ce recueil ne laisse pas indifférent. On ne peut que comprendre la colère de la poétesse et ses combats. Une fois de plus Laura Lutard fait mouche sur des thèmes différents et importants. 

mercredi 17 septembre 2025

Balade zen de Anne Terral et Michèle Adaoust

Autrices : Anne Terral et Michèle Adaoust
Maison d'édition : Akinomé
Date de sortie : Octobre 2019
ISBN : 979-10-96405-18-3
Pages : 112
Prix : 14,90

Résumé :
Découvrez le livre Balade Zen, rituels et traditions de Anne Terral et Michèle Adaoust dans notre collection Petits carnets.
D’abord, cette collection explore une facette unique et originale d’un pays à travers le regard d’un artiste.
Ensuite, elle est fidèle aux valeurs humanistes que sont l’ouverture sur le monde et aussi la quête de sens.
Pour l’aquarelliste Michèle Adaoust et l’écrivaine Anne Terral, il s’agit du Japon zen.
De leur errance, elles nous font découvrir un éventail de croyances et de rituels profondément liés à la nature.
Dans les temples, les jardins de mousse ou minéraux, au milieu des lanternes aussi, ou encore des gingkos, des kamis…
Des femmes passionnées par le voyage, également par les valeurs liées à l’écologie.

MON AVIS : Ça faisait longtemps que je ne vous avais pas présenté un livre des éditions Akinomé. Ce livre porte très bien son nom. C'est une manière originale de découvrir les rites et traditions japonaises y compris pour ceux qui ne les connaissent pas.

Ce livre contient des illustrations magnifiques accompagné d'un poème en prose en rapport avec le sujet. Je ne me suis jamais sentie aussi bien en lisant ces lignes. Pour preuve, je l'ai commencé pendant les pubs un soir. J'en ai oublié ce que je regardais. J'étais si détendue à la fin que je suis restée figé de bien être.

Ayant lu beaucoup de livres sur le Japon, j'ai eu peur qu'il soit répétitif. Certes, il aborde des choses que je connaissais mais d'une manière si différente que j'ai eu le sentiment de redécouvrir tout ça avec la mentalité japonaise. Une page m'a touché plus particulièrement consacré à la méditation tant elle est juste.

Bref, ce livre est un petit bijou permettant une découverte originale des rites et traditions japonaises tout en poésie et simplicité.