Et là, j'ai bien ri lorsque Élise a suggéré que l'on fasse chacune un article sur nos blogs respectifs avec nos PAL. La mienne est un peu trop grande pour que je puisse tous les affichés ici. Je me suis dit qu'une sélection de ma PAL étant un bon compromis.
vendredi 8 mars 2024
Éditions Picquier
mardi 30 mai 2023
L'atelier des cahiers
Bonjour,
Ça faisait longtemps que je n'avais pas fait d'interview d'éditeurs. Aujourd'hui, je vais vous présenter l'Atelier des cahiers que vous voyez régulièrement passer sur le blog. Je les ai découvert grâce à la masse critique babelio. J'ai eu la chance d'en recevoir plusieurs par ce biais. Par la suite, ils ont eu la gentillesse de m'accorder leur confiance en me proposant des services presse de temps à autres. Ils sont d'ailleurs un peu à l'origine de l'interview. Je les en remercie tant j'avais oublié le plaisir d'en apprendre plus sur un éditeur.
L’Atelier des Cahiers est officiellement né en tant que maison d’édition en 2006. Au préalable, il existait une revue : Les Cahiers de Corée, née en 1998 au sein de l’université Hanguk des études étrangères à Séoul. Cette revue annuelle a été créé dans le but de mieux faire connaitre la Corée à un public francophone. L’initiative, codirigée par Frédéric Boulesteix et Yves Millet, d’abord confidentielle, a progressivement trouvé sa place ; elle a compté sous sa forme originale huit numéros successifs. Au décès de Frédéric Boulesteix, la question s’est posée de savoir si nous devions poursuivre ou non l’aventure. C’est alors que Benjamin Joinau, qui collaborait déjà depuis plusieurs numéros, a repris la main avec Yves. Nous avons alors décidé de conserver l’esprit de départ, à savoir de favoriser des regards croisés entre les Coréens et les Francophones, mais en favorisant l’espace du livre plutôt que celui d’une revue. Aujourd’hui, nous sommes heureux de présenter un catalogue qui contient aussi bien des ouvrages littéraires, des essais, des guides ou des manuels, etc.
L’Atelier des Cahiers est une micro-structure. Nous sommes peu à y travailler. Si aujourd’hui nous pouvons dire que notre maison d’édition a trouvé sa place dans le milieu de l’édition, son développement a été progressif. Ce dernier s’est toujours fait à l’occasion de rencontres sur des projets précis et originaux, déterminés par une passion commune plus que par des objectifs commerciaux. D’ailleurs nous sommes une association à but non lucratif. Notre intention n’a jamais été de se consacrer uniquement à la traduction et diffusion d’auteur(e)s coréens, par exemple, mais de trouver des points de vue qui donnent à connaître des aspects plus ou moins connus de la péninsule coréenne.
3) Comment est venue votre passion pour la Corée?
Pour l’essentiel, cet intérêt est né de l’expérience. C’est parce que nous y avons vécu de nombreuses années ou y continuons de vivre et d’y travailler, que le pari éditorial de l’Atelier des Cahiers est apparu comme une évidence. Il ne faut pas oublier qu’à cette époque, c’est-à-dire autour du tournant des années 2000, la Corée ne faisait pas l’objet de curiosité comme c’est le cas aujourd’hui. Nous connaissions alors les prémices de la fameuse Vague coréenne (hallyu) et soit la Corée était caricaturée soit elle n’était regardée que sous angle des tensions géopolitiques entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. Alors que ce pays, d’une grande vitalité, avait beaucoup à partager.
4) Quelles sont les valeurs que vous souhaitez défendre ?
En premier lieu peut-être la défense de ce que le poète Victor Segalen appelait « le Divers ». L’idée que la diversité est le meilleur antidote aux simplifications trop souvent rencontrées. Ajouter de la nuance et de la complexité favorise le vivant. En second lieu, c’est la créativité.
5) Combien de livres publiez-vous par an ? Aimeriez-vous en publier plus sur le long terme ?
En moyenne nous publions 5 à 6 titres par an. C’est variable. Tout dépend de la nature des projets. Certains titres demandent plus de temps à élaborer. Il nous arrive souvent d’accompagner l’auteur ou l’autrice afin de donner au manuscrit de départ sa pleine dimension. C’est un travail d’éditeur.
C’est la raison pour laquelle il nous semble difficile d’envisager en publier davantage.
Oui, il est important d’apporter d’autres regards sur la Corée du Nord afin, toujours dans la même logique, de nuancer les a priori. Sur de nombreux aspects, historiques, culturels, il est ridicule de ne réduire la réalité coréenne qu’à la Corée du Sud. De même, nous ne nous refusons pas, à l’occasion, d’accepter des manuscrits qui proposent un regard encore plus large, à savoir sur l’Asie de l’Est dans son ensemble, Chine ou Japon.
Les manuscrits sont d’abord sélectionnés en fonction des différentes collections que nous avons ouvertes. Ensuite, nous sommes attentifs au regard porté sur la Corée. A de nombreuses reprises, nous avons reçu des textes issus d’un court séjour et qui, par conséquent, présentent des remarques à nos yeux trop superficielles, voire erronées. S’il s’agit de traductions, bien évidemment celle-ci est scrupuleusement vérifiée en plus du fait qu’elle doit être intelligible pour un lecteur francophone.
Effectivement, nous nous partageons entre la France et la Corée. Nous sommes principalement distribués en France par l’intermédiaire de la société Pollen mais également à Séoul, à la librairie du Kyobo ou bien, par exemple, dans les événements de la communauté francophone, ce qui est possible parce que nous avons aussi ouvert une structure en Corée du Sud. Le plus important est de conserver un pied dans chaque pays afin de coller aux réalités culturelles et économiques de chacun d’eux, et ce toujours dans le but de pouvoir donner naissance à des projets qui ne verraient pas forcément le jour ailleurs.
8) Comment voyez-vous l'avenir de votre maison d’édition ?
Etant donné l’intérêt actuel pour la Corée, nous nous disons que ce qui n’était qu’un pari à l’époque, à savoir consacrer une maison d’édition à un seul pays, est aujourd’hui en bonne voie de réussir. Nous recevons régulièrement des propositions de publications auxquelles nous portons beaucoup d’attention sans pouvoir toutes les satisfaire.
9) Pour un lecteur n'ayant jamais lu de littérature coréenne, quel livre lui conseillez-vous en premier ?
Commencer par une anthologie, comme ce que nous faisons avec la collection thématique « La Corée cent façons », où on lira des nouvelles, des poésies, des essais traduits sur mille ans d’histoire littéraire est une excellente idée. Ensuite en fonction des goûts on peut s’orienter vers la littérature ancienne où on trouvera des perles comme notre anthologie de contes grivois (« La Porte des secrets »), la littérature classique contemporaine (un de nos best-sellers étant « Hors les murs » de Park Wan-seo) ou des romans plus récents, tels ceux de Jeon Gyeong-nin, Eun Hee-kyung, etc., qui traitent des questions sociétales contemporaines.
11) Quelle question auriez-vous aimé que je vous pose ?
Nos projets à venir ! Nous en avons plein, du roman fantasy historique à l’essai de sociologie !
12) Quelque chose à ajouter ?
Lisez, lisez, lisez ! Le livre ne peut survivre que grâce à ses lecteurs ! Suivez-nous sur nos réseaux sociaux (Insta, Twitter, Facebook, YouTube) : il y aura toujours un livre chez nous pour vous plaire !
vendredi 3 novembre 2017
Decrescenzo
Il est vrai que nous publiions jusqu’à février 2017, exclusivement des œuvres coréennes. Mais cela a commencé à changer avec un premier titre vietnamien, et nous poursuivrons cette évolution en 2018 en s’ouvrant à d’autres littératures. Bien entendu, la littérature coréenne, même si elle ne sera plus exclusive, composera toujours le cœur de nos éditions.
2) Qu'est-ce qui vous a donné envie de créer cette maison d'édition ?
3) En quoi est-elle différente des autres ?
4) Quelles sont les valeurs que vous souhaiteriez défendre ?
5) Combien de livres publiez-vous par an ? Aimeriez-vous en publier plus sur le long terme ?
6) Comment voyez-vous l'avenir de votre maison d’édition ?
Je nous vois continuer de publier de la littérature coréenne et de jeunes auteurs notamment, qui reste notre sensibilité éditoriale de départ, tout en introduisant à notre catalogue d’autres pays d’Asie, et qui sait, d’autres pays « d’ailleurs ». Plus qu’une tendance d’ailleurs, le contexte de la littérature coréenne en France l’imposerait presque.
7) Pour un lecteur n'ayant jamais lu de littérature coréenne, quel livre lui conseilleriez-vous en premier ?
L’idée, tout en conservant la spécificité culturelle de ce pays et de cette littérature, est de montrer que la Corée du Sud, puisqu’il s’agit ici de celle-là, n’est pas qu’un lointain et mystérieux pays d’Asie, que beaucoup assimilent d’ailleurs à son voisin du Nord, mais bien un pays riche de multiples facettes que la littérature contemporaine permet de découvrir.
Bien souvent, la majorité des lecteurs rencontrés, notamment dans les salons du livre, associent la curiosité qu’ils ont pour un pays méconnu et la découverte de sa littérature. Je les oriente vers des livres de fiction tels Pars, le vent se lève de Han Kang, Cours papa, cours et Ma vie dans la supérette de Kim Ae-ran, Comme dans un conte de KIM Kyung-uk.
Dans ces livres où l’action, le contexte et les personnages relèvent de la quotidienneté de la vie. ls disent, tantôt avec sérieux tantôt avec beaucoup d’humour, le contexte familial, professionnel, amoureux ou sociétal des Coréens du Sud. Et permettent d’avoir en quelque sorte une prise, fictionnelle, sur la vie en Corée.
8) Quel est votre livre coréen préféré ?
S’il y a bien une question à laquelle un éditeur n’aime pas répondre c’est celle-ci. Vous voulez que je me fâche avec tous mes auteurs ? (sourire).
Mais il y a des livres que j’aime exclusivement pour leur qualité littéraire, d’autres pour l’émotion leur aspect décalé ou ce qu’ils symbolisent.
Dans le désordre : La Vie rêvé des plantes ou Le chant de la terre de Lee Seung-U, Pars le vent se lève de Han Kang, Ma vie dans la supérette de KIM Ae-ran, La Bibliothèque des instruments de musique de KIM Jung-hyuk, Le vieux jardin, de Hwang Sok-yong.... et j’en passe
10) Quelque chose à ajouter ?
jeudi 25 mai 2017
Éditions Malpertuis
Les livres qui me font envie
Oui, ça en fait un peu beaucoup mais c'est ça quand on ne prend pas le temps de consulter le net. (Vive le déménagement).
Et pourquoi une anthologie Malpertuis.
1) Qu'est-ce qui vous a donné envie de créer cette maison d'édition et pourquoi?
2) En quoi est-elle différente des autres?
3) Quelles sont les valeurs que vous souhaiteriez défendre?
4) Combien de livres publiez vous par an? Aimeriez vous en publier plus sur le long terme?
5)Comment voyez-vous l'avenir de votre maison d'édition?
mercredi 17 mai 2017
Édition Plume blanche
Je tiens à remercier les Édition Plume blanche d'avoir pris le temps de répondre à mes quelques questions et de leur disponibilité.
Comment l'ai-je découverte?
Les collections :
- PLUME D’ARGENT explore toutes les littératures de l'imaginaire visant un public très large.
- PLUME NOIRE s'adresse à un public avertit. Il faut se rappeler que ce n'est que de la fiction.
- PLUME D’AZUR vise un public jeune. La mise en page de ces romans est travaillé afin de faciliter la lecture
- PLUME DE POCHE concerne des romans courts n'ayant pas de suite et à petits prix s'adressant à un large public.
- PLUME ROSE comprend des romans mélangeant imaginaire et romance.
Quels sont les romans qui me font envie?
Questions/Réponses
1) Qu'est-ce qui vous a donné envie de créer cette maison d'édition et pourquoi?
2) En quoi est-elle différente des autres?
3) Quelles sont les valeurs que vous souhaiteriez défendre?
4) Combien de livres publiez-vous par an? Aimeriez-vous en publier plus sur le long terme?
5) Comment voyez-vous l'avenir de votre maison d'édition?
jeudi 15 septembre 2016
Audience
Qu'est-ce que c'est?
Quel est son but?
Pourquoi j'aime autant cette maison d'édition?
Quels sont ses points faibles?
Conclusion
lundi 1 août 2016
Édition Komikku
Histoire de la maison d'édition
Points forts de la maison d'édition
Deuxième point fort : les sagas. Ils sortent des sagas originales qui sortent de l'ordinaire. J'en parlerai ensuite de quelques unes d'entre elles. Elles possèdent une puissance incroyable. Elles marquent l'esprit et à chaque tome, on veut le suivant. Les graphismes sont très beaux. En plus, qualité importante, ils sont épais. Ce n'est pas les mangas très fin qu'on lit en 50 minutes. Là on en a pour deux heures en moyenne. Enfin, dans mon cas. Vous savourez et ne regrettez. Je me sens moins même pas du tout coupable à l'idée d'acheter un de leur manga. Je sais que je ne le regretterais pas.
Troisième point fort : la longueur des sagas. Elles ne sont pas très longues en règles générales. Actuellement, je dois nuancer mon propos pour la simple et bonne raison que les nouvelles séries sont très jeunes et qu'on ne sait pas combien de tomes sortiront au final.
Enfin, dernier point fort : On est quasi voir en même temps qu'au Japon. Ce qui est aussi contraignant puisqu'on doit forcément attendre six mois en moyenne pour la suite. Il faut savoir qu'une saga toute jeune sort un tome tous les deux mois puis lorsqu'elle est installée, les sorties s'espacent. Je trouve qu'en plus, on n'attend pas longtemps entre la sortie japonaise et française. Ce qui est une excellente chose.
Point faible de la maison d'édition
Quelques titres de ma collection
Le maître des livres
Mon avis : Je ne louperais aucun tome de ce manga. Il est juste génial. Il coûte, certes un peu cher, mais il en vaut largement la peine. Ce manga vous parle non seulement du milieu du livre au sens vaste du terme mais également de sujet de société important. Il y a tant à dire que ce serait long de le faire là. Tout ce que je peux dire, c'est que ce manga et cette bibliothèque est une bénédiction. Je retrouve le sourire avec un peu d'émotion en cours de lecture par moment. Lisez-le et savourez.
The ancient Magus Bride
Résumé : Chisé Hatori a 15 ans. Elle n’a ni famille, ni talent particulier, ni aucun espoir dans la vie. Un jour, elle est vendue à un sorcier, un non-humain dont l’existence remonte à la nuit des temps... Il la prend sous son aile pour faire d’elle sa disciple et lui annonce qu’à terme, elle deviendra son épouse. Alors, les aiguilles qui semblaient à tout jamais figées dans son cœur se mettent à tourner de nouveau, petit à petit...Mon avis : Au début, ça m'a rappelé "Black Butler" ce qui est de ma part un compliment. Puis, au fur et à mesure, on s'en éloigne. Ce manga possède ses propres forces. L'héroïne est finalement plutôt libre et apprend auprès d'Elias. Certains personnages s'ajoutent. Ils apportent chacun quelque chose au manga. la magie y est très présente et c'est là toute la force du manga. Les graphismes sont juste incroyable. On se laisse emporter sans trop savoir si on va emprunter le chemin que l'on imagine. j'avoue que je me suis faite avoir par moment. Je suis assez frustrée par le dernier tome paru. J'attends le suivant avec beaucoup d'impatience et je parle pas de l'anime ce qui est assez rare de ma part.
Le berceau des mers
Résumé : pendant la révolution industrielle, Monica retrouve Evan, un petit garçon dont elle s'occupait un an après s'être fait renvoyer de son poste de gouvernante, lors de la disparition de son maître. Pleine d'espoir, elle embarque avec le petit sur un bateau à vapeur à la recherche de celui-ci.Mon avis : Juste pour les illustrations, vous vous devez de le lire. Par moment, je me suis arrêtée pour admirer les graphismes, observer les détails du dessin, le détail qui fait toute la beauté et le réalisme de ce voyage. Parce qu'il s'agit bel et bien d'un voyage à bord d'un bateau. En tout cas, jusqu'à maintenant. L'héroïne nous semble stéréotypée mais pas tant que ça. Elle est forte et prête à beaucoup de chose par loyauté et fidélité. Evan est adorable. On apprend énormément sur les navires d'époque et leur manipulation et entretien. C'est très instructif en plus d'être extrêmement soigné. J'attends d'ailleurs le prochain dont je ne connais pas la date de sortie.
Arte
Résumé : Florence, début du 16e siècle. Dans ce berceau de la Renaissance, qui vit l’art s’épanouir dans toute sa splendeur, une jeune aristocrate prénommée Arte rêve de devenir artiste peintre et aspire à entrer en apprentissage dans un des nombreux ateliers de la ville…Hélas ! Cette époque de foisonnement culturel était aussi celle de la misogynie, et il n’était pas concevable qu’une jeune femme ambitionne de vivre de son art et de son travail. Les nombreux obstacles qui se dresseront sur le chemin d’Arte auront-ils raison de la folle énergie de cette aristo déjantée ?Mon avis : Mon côté féministe l'a emporté. Oui, je l'admets. Et je ne regrette pas. Cette jeune femme est complètement folle mais j'admire son courage et sa force de caractère. J'ai eu un peu peur que du manga historique et un peu féministe, on en revienne à un shojo mais non. Tout va bien. J'aime beaucoup la relation entre le maître et Arte. L'amie qu'elle se fait également est agréable. On prend en même temps une belle leçon d'art et de respect. Ne jamais juger une personne sur le fait d'être un homme ou une femme.
Border
Résumé : Haruna, jeune étudiante en phase d'entraînement avec les forces de police, se voit confier la tâche de veiller sur Ishikawa, un officier qui vit avec une balle de revolver logée dans le crâne. Cette blessure lui a permis de développer le don de communiquer avec les esprits des victimes, ce qui se révèle particulièrement utiles pour résoudre certaines affaires.Mon avis : un manga policier. Première fois que j'en lis un et je suis conquise. Il y a une part de fantastique mais très bien intégré. Ishikawa est un personnage intéressant dont on découvre sans cesse de nouvelles choses. La série est en quatre tomes. Je ne sais pas si ça me suffira ou si j'en souhaiterai d'avantage mais je pense que c'est le genre de série qui ne doit pas s'éterniser. Elle a forcément une fin. Les enquêtes sont très bien menées et sont justes. Il n'y a pas de fioritures. C'est très loin de ce qui se fait dans le domaine. Après, j'avoue ne pas être une spécialiste du genre mais de ce que j'en ai vu, je n'ai jamais été convaincu. Là, c'est différent. On nous présente des personnes avant des victimes. Chacune avait ses secrets et chacune était jugé sur les "on dit" et les apparences. Beaucoup de sujets sont abordés. Les graphismes parfois violents restent "doux" et léger ce qui nous évite de détourner le regard et c'est toute la force du manga.
POUR FINIR
Je pense avoir fait le tour de cette maison d'édition. J'ai lu d'autres choses de cette maison d'édition comme un one-shot intitulé "Snow illusion" absolument magnifique et beau basé sur un conte japonais. Je ne sais pas si j'ai réussi à vous convertir mais en tout cas, pour moi, c'est un incontournable.lundi 25 juillet 2016
Urban China
Comment ai-je découvert Urban China?
La bonne question. Je ne me souviens plus. Je me souviens seulement d'avoir vu la couverture de "Little Yu". J'en suis tombée sous le charme. Le résumé m'a conquise et j'ai craqué. J'ai commandé le premier tome ainsi que le premier tome d'une autre série du même auteur "La princesse vagabonde".Ces deux séries sont d'immenses coup de cœur. Les graphismes sont éblouissants. Tout ce que je peux vous dire, c'est : savourez. Les histoires, certes différentes, vous permettent d'apprendre tellement de choses.