Poète :
Martin Page
Maison d'édition : Bruno Doucey
Date de sortie : 8 Septembre 2022
ISBN : 978-2-36229-430-3
Pages : 112
Prix : 14
Résumé : Il dit se sentir « bizarre et inadapté », avec des « idées étranges » et des mots « à côté de la plaque ». La vie quotidienne lui apparaît comme « une arme de destruction massive », et il aimerait trouver « des ciseaux pour découper la tristesse ». Mais qu’il est attachant, le poète qui donne à lire ici son premier recueil ! Avec Martin Page, les thématiques atemporelles et le trépied des muses sont priés de rester au vestiaire. Ce qui compte pour lui, c’est l’ancrage de la poésie dans le quotidien : celui du père de famille et des repas à préparer. De l’écrivain qui pousse la porte de son ordinateur. Du citoyen que tant de situations révulsent. Son rapport intranquille au monde se teinte d’imagination et de tendresse, pour nous offrir une poésie joyeusement désespérée, alerte et décalée.
MON AVIS : J'ai honte. J'ai lu ce recueil en octobre 2022. J'étais convaincue d'avoir écrit mon avis. Apparemment, je n'ai rendu que celui en vidéo. Pour ceux qui me connaissent, vous savez pourquoi. À l'époque, j'étais totalement à la ramasse. En vrai, j'ai très peu de souvenir de cette période. Pourtant, je me souviens très bien de mes réactions en lisant ce recueil : j'avais le sourire. Du fait de cette mémoire défaillante, j'ai relu ce recueil. C'est le côté positif.
J'ai mis tellement de post-it que je me suis demandée pourquoi en mettre. Pas à chaque page mais beaucoup. Martin Page a l'art et la manière de critiquer la société avec légèreté et humour. Il utilise les moments du quotidien pour amener un sourire mais rester sérieux quand il le faut. Ça fait un bien fou et ça fait même rire parfois. Le titre est très bien trouvé. Ça reflète parfaitement l'idée du recueil.
Maison d'édition : Bruno Doucey
Date de sortie : 8 Septembre 2022
ISBN : 978-2-36229-430-3
Pages : 112
Prix : 14
Résumé : Il dit se sentir « bizarre et inadapté », avec des « idées étranges » et des mots « à côté de la plaque ». La vie quotidienne lui apparaît comme « une arme de destruction massive », et il aimerait trouver « des ciseaux pour découper la tristesse ». Mais qu’il est attachant, le poète qui donne à lire ici son premier recueil ! Avec Martin Page, les thématiques atemporelles et le trépied des muses sont priés de rester au vestiaire. Ce qui compte pour lui, c’est l’ancrage de la poésie dans le quotidien : celui du père de famille et des repas à préparer. De l’écrivain qui pousse la porte de son ordinateur. Du citoyen que tant de situations révulsent. Son rapport intranquille au monde se teinte d’imagination et de tendresse, pour nous offrir une poésie joyeusement désespérée, alerte et décalée.
MON AVIS : J'ai honte. J'ai lu ce recueil en octobre 2022. J'étais convaincue d'avoir écrit mon avis. Apparemment, je n'ai rendu que celui en vidéo. Pour ceux qui me connaissent, vous savez pourquoi. À l'époque, j'étais totalement à la ramasse. En vrai, j'ai très peu de souvenir de cette période. Pourtant, je me souviens très bien de mes réactions en lisant ce recueil : j'avais le sourire. Du fait de cette mémoire défaillante, j'ai relu ce recueil. C'est le côté positif.
J'ai mis tellement de post-it que je me suis demandée pourquoi en mettre. Pas à chaque page mais beaucoup. Martin Page a l'art et la manière de critiquer la société avec légèreté et humour. Il utilise les moments du quotidien pour amener un sourire mais rester sérieux quand il le faut. Ça fait un bien fou et ça fait même rire parfois. Le titre est très bien trouvé. Ça reflète parfaitement l'idée du recueil.
Beaucoup de sujets sont abordés : discrimination, l'argent, les difficultés de la vie et surtout une véritable critique de la société. Très souvent, le poète rejette ces personnes qui jugent ceux qui sont blessés à coup de phrases toutes faites. Qu'est-ce que je comprends ça... Moi-même j'en ai ras-le-bol des "quand on veut, on peut" et autres phrases clichées. Si c'était si simple, ça se saurait.
En bref, ce recueil est un bijou de justice. Il fait du bien et défoule tout en faisant sourire voir rire. Il est surprenant. Comme il parle beaucoup de nourriture dedans, je pense à de la barbe à papa (je sais c'est bizarre mais lui-même l'a écrit dans un de ses poèmes). Ça donne faim.
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