Autrice :
Ogawa Ito
Maison d'édition : Philippe picquier
Date de sortie : Août 2020
ISBN : 978-2-8097-1496-8
Pages : 288
Prix : 19 (existe en poche également)
Résumé : La vie est douce à Kamakura. Amis et clients se pressent dans la petite papeterie où Hatoko exerce ses talents d’écrivain public. Tendres, drôles ou tragiques, les destins se croisent sous son pinceau.
Hatoko s’est mariée et découvre, en compagnie de Mitsurô et de sa petite fille, les joies d’être mère au sein de leur famille recomposée : elle enseigne à l’enfant l’art de la calligraphie comme le faisait sa grand-mère et partage avec elle ses recettes des boulettes à l’armoise ou du thé vert fait maison.
Mais si Hatoko excelle dans l’art difficile d’écrire pour les autres, le moment viendra pour elle d’écrire ce qui brille au fond de son cœur.
Après La Papeterie Tsubaki se dévoile une fois de plus tout le talent d’Ogawa Ito pour nous révéler les sources invisibles du bonheur.
MON AVIS : Le retour de Ogawa Ito sur le blog. Ce roman est la suite de "La papeterie Tsubaki". Sachez que ma libraire a lu "La république du bonheur" sans avoir lu le précédent. Ça ne l'a pas gêné. Du coup, vous pouvez le lire sans problème. Personnellement, je vous recommande la lecture du précédent juste pour le plaisir. Vous allez vite comprendre pourquoi.
On retrouve Hatoko, écrivaine publique, qui s'est mariée avec Mitsurô, le père d'une petite fille qu'elle aime beaucoup. Dans le tome précédent, on suivait notre écrivaine reprenant la boutique de sa grand-mère. Ici, en plus de poursuivre son travail, elle va découvrir un nouveau rôle : celui de mère. Ça va la ramener à sa relation compliquée avec son aïeul.
Maison d'édition : Philippe picquier
Date de sortie : Août 2020
ISBN : 978-2-8097-1496-8
Pages : 288
Prix : 19 (existe en poche également)
Résumé : La vie est douce à Kamakura. Amis et clients se pressent dans la petite papeterie où Hatoko exerce ses talents d’écrivain public. Tendres, drôles ou tragiques, les destins se croisent sous son pinceau.
Hatoko s’est mariée et découvre, en compagnie de Mitsurô et de sa petite fille, les joies d’être mère au sein de leur famille recomposée : elle enseigne à l’enfant l’art de la calligraphie comme le faisait sa grand-mère et partage avec elle ses recettes des boulettes à l’armoise ou du thé vert fait maison.
Mais si Hatoko excelle dans l’art difficile d’écrire pour les autres, le moment viendra pour elle d’écrire ce qui brille au fond de son cœur.
Après La Papeterie Tsubaki se dévoile une fois de plus tout le talent d’Ogawa Ito pour nous révéler les sources invisibles du bonheur.
MON AVIS : Le retour de Ogawa Ito sur le blog. Ce roman est la suite de "La papeterie Tsubaki". Sachez que ma libraire a lu "La république du bonheur" sans avoir lu le précédent. Ça ne l'a pas gêné. Du coup, vous pouvez le lire sans problème. Personnellement, je vous recommande la lecture du précédent juste pour le plaisir. Vous allez vite comprendre pourquoi.
On retrouve Hatoko, écrivaine publique, qui s'est mariée avec Mitsurô, le père d'une petite fille qu'elle aime beaucoup. Dans le tome précédent, on suivait notre écrivaine reprenant la boutique de sa grand-mère. Ici, en plus de poursuivre son travail, elle va découvrir un nouveau rôle : celui de mère. Ça va la ramener à sa relation compliquée avec son aïeul.
L'écriture de l'autrice est toujours aussi belle. Ça fait tellement de bien. On y trouve tant de poésie et de pudeur. Hatoko se pose des questions. La capacité de Ogawa Ito à les écrire est surprenante de justesse. Les japonais ont vraiment une façon unique d'exprimer les choses et surtout de rester dans l'instant présent, choses que nous ne savons pas faire.
À côté de l'évolution de l'héroïne, nous en apprenons toujours plus sur son métier. J'ai eu l'impression d'entrée presque en méditation en les lisant. Chaque geste a son importance. En plus, QP, la petite fille, décide d'apprendre l'art de sa belle-maman. C'est très intéressant tout en étant drôle. Hatoko a en plus toujours des idées y compris pour son mari. Il est gérant d'un restaurant. Autant vous dire que la description des plats donne faim. J'avais l'impression d'en sentir les odeurs...
En bref, j'adore cette autrice et je prendrai plaisir à lire ses autres romans. Si vous aimez prendre le temps, la poésie et la culture japonaise, ne réfléchissez pas.
En bref, j'adore cette autrice et je prendrai plaisir à lire ses autres romans. Si vous aimez prendre le temps, la poésie et la culture japonaise, ne réfléchissez pas.
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