Auteur :
Alain Damasion
Maison d'édition : Folio (ma version est de 2011) (existe en grand format et en BD)
Date de sortie : première édition en 2007
ISBN : 9782072927515
Pages : 736
Prix : 12
Résumé : Un groupe d'élite, formé dès l'enfance à faire face, part des confins d'une terre féroce, saignée de rafales, pour aller chercher l'origine du vent.
Ils sont vingt-trois, un bloc, un nœud de courage : la Horde. Ils sont pilier, ailier, traceur, aéromaître et géomaître, feuleuse et sourcière, troubadour et scribe. Ils traversent leur monde debout, à pied, en quête d'un Extrême-Amont qui fuit devant eux comme un horizon fou.
Expérience de lecture unique, La Horde du Contrevent est un livre-univers qui fond d'un même feu l'aventure et la poésie des parcours, le combat nu et la quête d'un sens profond du vivant qui unirait le mouvement et le lien. Chaque mot résonne, claque, fuse : Alain Damasio joue de sa plume comme d'un pinceau, d'une caméra ou d'une arme…
Chef-d'œuvre porté par un bouche-à-oreille rare, le roman a été logiquement récompensé par le Grand Prix de l'Imaginaire.
MON AVIS : Qu'est-ce que j'ai eu peur de lire ce livre...Il a fallu une lecture commune pour que je m'y mette et surtout la venue de l'auteur pas loin de chez moi pour un spectacle musicale dont je me souviens encore. J'appréhendai cette lecture par ce que j'en avais entendu lors d'un club de lecture et aussi par son épaisseur.
Maison d'édition : Folio (ma version est de 2011) (existe en grand format et en BD)
Date de sortie : première édition en 2007
ISBN : 9782072927515
Pages : 736
Prix : 12
Résumé : Un groupe d'élite, formé dès l'enfance à faire face, part des confins d'une terre féroce, saignée de rafales, pour aller chercher l'origine du vent.
Ils sont vingt-trois, un bloc, un nœud de courage : la Horde. Ils sont pilier, ailier, traceur, aéromaître et géomaître, feuleuse et sourcière, troubadour et scribe. Ils traversent leur monde debout, à pied, en quête d'un Extrême-Amont qui fuit devant eux comme un horizon fou.
Expérience de lecture unique, La Horde du Contrevent est un livre-univers qui fond d'un même feu l'aventure et la poésie des parcours, le combat nu et la quête d'un sens profond du vivant qui unirait le mouvement et le lien. Chaque mot résonne, claque, fuse : Alain Damasio joue de sa plume comme d'un pinceau, d'une caméra ou d'une arme…
Chef-d'œuvre porté par un bouche-à-oreille rare, le roman a été logiquement récompensé par le Grand Prix de l'Imaginaire.
MON AVIS : Qu'est-ce que j'ai eu peur de lire ce livre...Il a fallu une lecture commune pour que je m'y mette et surtout la venue de l'auteur pas loin de chez moi pour un spectacle musicale dont je me souviens encore. J'appréhendai cette lecture par ce que j'en avais entendu lors d'un club de lecture et aussi par son épaisseur.
On suit un groupe de personnes, ayant chacun une compétence précise, chargé de trouver l'origine du vent. Ils traversent donc le monde dans des conditions plus difficiles les unes que les autres. Il y a des règles à respecter dont la plus importante est d'être toujours à pied quoiqu'il arrive.
De tous les personnages, j'ai adoré Sov, le scribe. Peut-être aussi parce qu'il fait parti des personnages dont on connaît le plus les pensées. En effet, l'auteur fait le choix d'écrire le roman du point de vue des différents personnages. C'est indiqué par un symbole à chaque fois. Je vous conseille donc de garder le marque-page avec vous pour la lecture. Il recense tout et vous permet de vous adapter plus facilement surtout au début. Vous les retiendrez facilement au fil du temps.
Golgoth est le chef et se montre bourru. Son langage est rude. Il se montre très dur avec son équipe mais pour les protéger. Chacun des individus a son importance. Le principe de ce roman réside non seulement sur la quête mais on en apprend plus sur comment ils en sont arrivé là et l'envers du décor des décideurs. Ma seule petite déception et encore, c'est purement personnel, c'est de sous-entendre à de rares occasions la relation entre certains membres de l'équipe. Pourtant, c'est logique. Ils ont passé la majeure partie de leur vie en groupe et isolé. Ils ont des besoins et doivent les satisfaire. C'est pour ça que je précise que c'est mon avis. Je n'avais pas besoin de le savoir. Ça me paraissait inutile.
Il est compliqué de parler de ce livre unique en son genre. On comprend mieux pourquoi l'auteur a mis autant de temps à l'écrire. Je n'ai pas trouver d'incohérences. Au delà de la quête, il est surtout question de la survie d'un groupe sur la durée et l'évolution de chacun face aux difficultés qu'ils rencontrent.
De tous les personnages, j'ai adoré Sov, le scribe. Peut-être aussi parce qu'il fait parti des personnages dont on connaît le plus les pensées. En effet, l'auteur fait le choix d'écrire le roman du point de vue des différents personnages. C'est indiqué par un symbole à chaque fois. Je vous conseille donc de garder le marque-page avec vous pour la lecture. Il recense tout et vous permet de vous adapter plus facilement surtout au début. Vous les retiendrez facilement au fil du temps.
Golgoth est le chef et se montre bourru. Son langage est rude. Il se montre très dur avec son équipe mais pour les protéger. Chacun des individus a son importance. Le principe de ce roman réside non seulement sur la quête mais on en apprend plus sur comment ils en sont arrivé là et l'envers du décor des décideurs. Ma seule petite déception et encore, c'est purement personnel, c'est de sous-entendre à de rares occasions la relation entre certains membres de l'équipe. Pourtant, c'est logique. Ils ont passé la majeure partie de leur vie en groupe et isolé. Ils ont des besoins et doivent les satisfaire. C'est pour ça que je précise que c'est mon avis. Je n'avais pas besoin de le savoir. Ça me paraissait inutile.
Il est compliqué de parler de ce livre unique en son genre. On comprend mieux pourquoi l'auteur a mis autant de temps à l'écrire. Je n'ai pas trouver d'incohérences. Au delà de la quête, il est surtout question de la survie d'un groupe sur la durée et l'évolution de chacun face aux difficultés qu'ils rencontrent.
Je me dois tout de même de parler du troubadour. Son histoire est des plus particulière. J'ai adoré sa bonne humeur constante. Son évolution est étonnante. Il joue constamment sur les mots et raconte des histoires. Il y a une scène incroyable entre lui et un maître : une joute verbale. Ils échangent avec des règles bien précises. Ces passages m'ont régalé. J'ai savouré chaque instant. Je n'ose imaginer le temps que ça a demandé à l'auteur pour les créer.
En bref, ce livre est une véritable expérience de lecture. À vous de voir si vous voulez la tenter. Je ne le regrette pas une seule seconde.
En bref, ce livre est une véritable expérience de lecture. À vous de voir si vous voulez la tenter. Je ne le regrette pas une seule seconde.
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