lundi 18 octobre 2021

Étherval n°18


Merci à Andréa Deslacs de m'avoir proposé ce service presse. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s'agit d'une revue regroupant des nouvelles et des articles sur un thème précis. Ici, le thème était "énigma". L'avantage de ce magazine est que l'on peut découvrir des plumes et en retrouver d'autres. On nous propose également des conseils lectures et de jeux dans ce numéros en fonction du thème. Et un petit quelque chose que j'ai adoré à la fin. Commençons par les nouvelles :

  • Lætitia Beau, pour « Elémentaire, mon cher Poulpson ! » : L'autrice nous propose de revisiter une enquête de Agatha Christie avec son personnage emblématique Miss Marple mais avec un clin d'œil qui m'a fait sourire à lovecraft et au docteur Waston.

  • Agathe Tournois, pour « Double don » : Une enquête très intéressante. Rhyls a le pouvoir de sentir la magie utilisée mais ce n'est pas son seul don. Il va être accusé de meurtre. Et son deuxième don va entrer en jeu. J'ai beaucoup aimé l'idée.

  • Julie Limoges, pour « Le Cas Percy Robert » : J'ai tellement aimé cette nouvelle. Ça pourrait donner une super idée de roman. On est dans un monde ou les morts et les vivants se côtoient. Seules certaines personnes peuvent se voir mutuellement. C'est le cas de Jack et de Félicie, des personnages atypiques. Ils enquêtent sur la double mort de Percy Robert. Franchement génial. Je n'avais pas envie que ça s'arrête.

  • Hélèna Kent, pour « Colombe et les  fleurs de lave » : On suit une enquêtrice lutine chargée d'enquête sur un double assassinat. C'est très bien écrit. L'idée des fleurs de lave est super bien trouvée tout comme les relations entre les créatures fantastiques.

  • Andréa Deslacs, pour « Le Pince sans rire » : Que j'aime cette autrice! Vous voulez une nouvelle sur la mort de rire au sens propre? Et bien c'est ce qu'il faut lire avec cette touche de science fiction juste comme il faut avec des personnages aux visages animaliers. C'était une super idée et on le retient surtout. Habituellement, j'oublie vite cette particularité. Pas ici.

  • Jonathan Myriel, pour « Les Pétrophages d’Arabesque » : Bon retour à Arabesque Mildred. Cette jeune femme n'est pas quelqu'un qui respecte les règles mais elle n'aura pas trop le choix si elle veut qu'on la laisse tranquille. Elle doit renouer contact avec un groupe qui souhaite protéger les pétrophages afin de savoir qui est derrière la catastrophes qui a eu lieu. J'aime bien les personnages comme Mildred. Juste la fin un peu brutal. J'aurai bien voulu connaître la suite.

  • Jonathan Grandin, pour « Un Criminologue presque parfait » : une idée fabuleuse avec une nouvelle technologie capable de savoir qui a commis un crime. Seulement, ce système a ses failles. Sa nouvelle gérante est convaincu que son patron a été assassiné et non intoxiqué mais par qui? Elle fait appel à son ancien associé en prison pour l'aider à résoudre cet énigme. Je n'en dis pas plus mais j'ai adoré la plume subtile de l'auteur.

  • En exclusivité numérique : Manu Breysse, pour « Le Fadet, l’Icorne et l’œuf d’or » : on suit un fadet qui décide de partir à l'aventure sauf qu'il va croiser une icorne qui a perdu son œuf. Ils vont partir à sa recherche.

Ensuite un article consacré à Blacksad, une bande dessiné dont beaucoup ont entendu parler. J'aime beaucoup l'idée de cette bande dessiné mais j'ai parfois du mal avec les graphismes dans ce genre là. Du coup, je n'ose pas. On trouve également une interview de Marlène Charine pour son roman "Tombent les anges".

En bref, j'aime toujours découvrir les numéros d'Étherval. Le seul reproche que je ferai concerne la nouvelle disponible qu'en numérique. Je n'aime vraiment pas lire en numérique mais ce n'est que mon avis.

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