Auteur : Lucas Courage
Maison d'édition : Scrinéo
Date de sortie : 3 Octobre 2019
ISBN : 978-2-36740-677-0
Pages : 228
Prix : 12,90
Résumé : « Je m’appelle Lucas Courage. Je n’ai pas choisi ce nom ni d’avoir un
pouvoir extraordinaire, mais secret. Je n’ai pas choisi d’avoir un père
espion, ni d’être recruté avec lui par le Président de la République
pour démanteler un réseau de terroristes. Je n’ai pas choisi non plus
l’aventure, les poursuites, les énigmes … Partir au Shahistan, être pris
en otage, assister à des assassinats … ! Je n’ai pas choisi de vivre,
comme dirait Manon – Ah Manon … – Je n’ai pas choisi de vivre dans ce
monde de dingues ! »
MON AVIS :Merci à la masse critique babelio et à la maison d'édition pour ce SP.
Le nom de l'auteur est un pseudo. Je serai bien curieuse de savoir qui se cache réellement derrière ce nom. J'ai adoré Lucas. C'est le paradoxe de l'adolescent. Il veut en faire le moins possible mais dès qu'il accompagne son père en tant qu'espion, il veut participer. C'est l'art de la contradiction. Ce roman est une bouffée d'air frais. Il se lit très vite et on a du mal à le lâcher.
Certes, certains pourraient pointer du doigt l'aspect fantastique mais ici, il faut se laisser porter par l'histoire et ne pas se prendre la tête. L'auteur demande à son lecteur juste de s'amuser. Le nom du pays, Shahistant, m'a bien fait rire. Les baskets vertes sont le nom que donne Lucas aux méchants de l'histoire. Les scènes sont cocasses parfois. Dès le début, on rentre dans le vif du sujet.
Le nom de l'auteur est un pseudo. Je serai bien curieuse de savoir qui se cache réellement derrière ce nom. J'ai adoré Lucas. C'est le paradoxe de l'adolescent. Il veut en faire le moins possible mais dès qu'il accompagne son père en tant qu'espion, il veut participer. C'est l'art de la contradiction. Ce roman est une bouffée d'air frais. Il se lit très vite et on a du mal à le lâcher.
Certes, certains pourraient pointer du doigt l'aspect fantastique mais ici, il faut se laisser porter par l'histoire et ne pas se prendre la tête. L'auteur demande à son lecteur juste de s'amuser. Le nom du pays, Shahistant, m'a bien fait rire. Les baskets vertes sont le nom que donne Lucas aux méchants de l'histoire. Les scènes sont cocasses parfois. Dès le début, on rentre dans le vif du sujet.
Le roman ne met pas juste en avant des espions mais aussi des êtres humains. En effet, Lucas est sous le charme de Manon. Il met en avant le dilemme de son père. Ce dernier élève seul son fils, s'inquiète pour lui et en même temps a besoin de son aide afin de faire face aux terroristes. Son rôle de père rentre en contradiction avec son rôle d'espion.
Manon est une adolescente qui réagit logiquement face à tout ce qui se passe. Elle trouve Lucas bizarre. Elle ne le croit pas une seconde ce qui est normal. Finalement, seul Lucas arrivera à la sortir de sa torpeur. Les dialogues entre les deux sont juste dingues. La mère de Manon est une aventurière dans l'âme et surtout journaliste. Son rôle de mère rentre aussi en contradiction avec son métier.
En bref, j'ai passé un bon moment avec ce roman addictif, un peu loufoque mais qui fait son travail : nous distraire.
Manon est une adolescente qui réagit logiquement face à tout ce qui se passe. Elle trouve Lucas bizarre. Elle ne le croit pas une seconde ce qui est normal. Finalement, seul Lucas arrivera à la sortir de sa torpeur. Les dialogues entre les deux sont juste dingues. La mère de Manon est une aventurière dans l'âme et surtout journaliste. Son rôle de mère rentre aussi en contradiction avec son métier.
En bref, j'ai passé un bon moment avec ce roman addictif, un peu loufoque mais qui fait son travail : nous distraire.
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