Auteur :
Romain Delplancq
Maison d'édition :
Homme sans nom
Date de sortie : Octobre 2015
ISBN : 978-2-918541-22-6
Pages : 400
Prix : 19,90
Résumé :
Le destin des ducs Spadelpietra est assuré. Inexorable. Une ascension
déterminée vers le pouvoir, vers la couronne, vers la place qui leur
revient de droit à l’avant-garde du monde. Ils sont les pacificateurs,
les bâtisseurs, les gouverneurs de Slasie. Ils sont les Illustres.
Mais
les nomades Austrois y font à peine attention. Leur monde n’est fait
que de théâtre, de musique, d’art et d’inventions dont ils gardent
jalousement les secrets. Leur vie est une routine maîtrisée, à l’image
de leurs automates.
Et pourtant, un tout petit hasard vient
gripper la mécanique de l’histoire. Trois fois rien. Une toile
découverte par les Spadelpietra qui catapulte son peintre, le jeune
Mical, dans une longue fuite... Et pousse le pays, son peuple, ses
nobles et ses artistes dans les premiers vents de la plus grande
tourmente de leur histoire.
MON AVIS : J'adore tout ce qui touche à l'art. Je n'ai donc pas eu d'hésitations à acheter ce livre. Mon seul regret est de ne pas avoir acheté la suite lors des halliennales et d'y rencontrer l'auteur. Dès le début, j'ai été happé par l'écriture et les descriptions du prologue. Par la suite, certains choix de l'auteur m'ont surprises.
En effet, nous rencontrons chaque personnage, non par leur nom, mais par leur personnalité et ce qu'ils font. Pour certains, nous avons leur identité dans les pages qui suit. Pour d'autres, il faut attendre plusieurs chapitres pour en savoir plus.
Le roman est découpé en deux parties : une sur Mical (le héros et peintre) et la seconde principalement sur la famille Spadelpietra notamment les jumeaux. Mical va devoir fuir à cause de ses peintures. On est comme lui. On ne comprend pas pour quelle raison mais des personnes cherchent à l'enlever. Il va rejoindre les austrois, des nomades férus d'art et d'inventions.
J'ai été fasciné par les Austrois. Il s'agit de musiciens, comédiens et techniciens. Ils créent des machines, inventent des mécanismes pour leur spectacle. Ils se produisent et tout le monde participe au clan. En effet, il y a différents clans. On suit celui des Dael. j'ai une affection toute particulière pour Philio. Il semble distant et indifférent ne pensant qu'à sa musique. Je pense que c'est loin d'être le cas.
Ce premier tome est une immersion dans l'univers crée par l'auteur. C'est fascinant. On en prend pleins les yeux puisque l'auteur pousse notre imagination à visualiser. Plus on avances, plus on se pose de questions jusqu'au moment ou les évènements s'enchaînent. On ne peut plus s'arrêter de lire. Les retournements de situations sont incroyables et je ne parle pas du coup de grâce de l'auteur à la dernière ligne. Ça faisait longtemps qu'une fin de tome ne m'avait pas frustré. Et l'auteur a réussi ce coup de force.
En bref, j'ai juste envie de lire la suite et fin de saga mais il va falloir l'acheter pour ça. Je réfléchi juste à savoir si je prends la version poche ou le grand format.
En effet, nous rencontrons chaque personnage, non par leur nom, mais par leur personnalité et ce qu'ils font. Pour certains, nous avons leur identité dans les pages qui suit. Pour d'autres, il faut attendre plusieurs chapitres pour en savoir plus.
Le roman est découpé en deux parties : une sur Mical (le héros et peintre) et la seconde principalement sur la famille Spadelpietra notamment les jumeaux. Mical va devoir fuir à cause de ses peintures. On est comme lui. On ne comprend pas pour quelle raison mais des personnes cherchent à l'enlever. Il va rejoindre les austrois, des nomades férus d'art et d'inventions.
J'ai été fasciné par les Austrois. Il s'agit de musiciens, comédiens et techniciens. Ils créent des machines, inventent des mécanismes pour leur spectacle. Ils se produisent et tout le monde participe au clan. En effet, il y a différents clans. On suit celui des Dael. j'ai une affection toute particulière pour Philio. Il semble distant et indifférent ne pensant qu'à sa musique. Je pense que c'est loin d'être le cas.
Ce premier tome est une immersion dans l'univers crée par l'auteur. C'est fascinant. On en prend pleins les yeux puisque l'auteur pousse notre imagination à visualiser. Plus on avances, plus on se pose de questions jusqu'au moment ou les évènements s'enchaînent. On ne peut plus s'arrêter de lire. Les retournements de situations sont incroyables et je ne parle pas du coup de grâce de l'auteur à la dernière ligne. Ça faisait longtemps qu'une fin de tome ne m'avait pas frustré. Et l'auteur a réussi ce coup de force.
En bref, j'ai juste envie de lire la suite et fin de saga mais il va falloir l'acheter pour ça. Je réfléchi juste à savoir si je prends la version poche ou le grand format.
Petite question, est-ce que le travail éditorial au niveau correction est bon ? Quand j'ai lu le 1er tome d'orne Miller de son polar il était bourré de fautes alors je me demandais si c'était juste ce livre ou si c'est tous les textes ? Merci
RépondreSupprimerJ'ai eu le même soucis que toi pour Oren Miller.Ça m'avait agacé. Je n'ai pas noté de fautes sinon je l'aurai mentionné. Je pense que c'était juste le livre d'Oren Miller. Je n'ai pas encore lu la suite donc je ne sais pas si le tome 2 était concerné.
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