Autrice : Karin Serres
Maison d'édition : Rouergue
Date de sortie : Octobre 2018
ISBN : 978-2-8126-1689-1
Pages : 144
Prix : 12,60
Résumé : La planète est désormais couverte par une seule ville, aux tours
immenses, d’où toute nature a disparu. Les humains passent leur temps à
jouer, tandis que les robots sont au pouvoir. Un matin, Madeleine, une
ado vivant dans le quartier France 45-67, découvre que ses mains sont
devenues vertes… Mais elle n’est pas la seule : de l’autre côté de la
planète, Ken, du quartier Japon 23-58, est aussi victime de ce
phénomène. Un roman fantastique, très inspiré par la culture japonaise,
qui plaira aux lecteurs de manga.
MON AVIS : Merci aux éditions Rouergue de m'avoir permis de lire ce service presse.
On rencontre Madeleine, une ado banale, qui va se retrouve avec des mains vertes du jour au lendemain. Elle vit dans un monde futuriste dans lequel les robots et les jeux dominent. Kenji, un japonais du même âge, va aller à sa rencontre. Il a également les mains vertes. Leurs personnalités sont opposés. Madeleine s'inquiète de la couleur de ses mains et cherchent juste à se débarrasser de la couleur de ses mains. Kenji, lui, veut convaincre Madeleine de ce que son grand père lui a laissé. Je n'en dis pas plus.
Ce roman est un véritable mélange des genres en si peu de pages que c'en est dingue. Surtout qu'il est court. On y trouve du cyberpunk, de la dystopie, de l'écologie et c'est destiné à la jeunesse. Malgré le peu de pages, ce roman est cohérent et simple. En plus de tout ça, l'autrice a utilisé une légende japonaise : les "Happa no ko" (le peuple des feuilles). Tout s'enchaîne rapidement ce qui fait qu'on n'a pas le temps de ressentir grand chose. Dommage. Il y avait pourtant des scènes qui auraient pu faire réagir mais pas le temps du à l'enchaînement des scènes.
En bref, un roman fort sympathique qui aurait pu être mieux avec un rythme moins élevé.
On rencontre Madeleine, une ado banale, qui va se retrouve avec des mains vertes du jour au lendemain. Elle vit dans un monde futuriste dans lequel les robots et les jeux dominent. Kenji, un japonais du même âge, va aller à sa rencontre. Il a également les mains vertes. Leurs personnalités sont opposés. Madeleine s'inquiète de la couleur de ses mains et cherchent juste à se débarrasser de la couleur de ses mains. Kenji, lui, veut convaincre Madeleine de ce que son grand père lui a laissé. Je n'en dis pas plus.
Ce roman est un véritable mélange des genres en si peu de pages que c'en est dingue. Surtout qu'il est court. On y trouve du cyberpunk, de la dystopie, de l'écologie et c'est destiné à la jeunesse. Malgré le peu de pages, ce roman est cohérent et simple. En plus de tout ça, l'autrice a utilisé une légende japonaise : les "Happa no ko" (le peuple des feuilles). Tout s'enchaîne rapidement ce qui fait qu'on n'a pas le temps de ressentir grand chose. Dommage. Il y avait pourtant des scènes qui auraient pu faire réagir mais pas le temps du à l'enchaînement des scènes.
En bref, un roman fort sympathique qui aurait pu être mieux avec un rythme moins élevé.
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