Auteur : Kim Jung-Hyuk
Maison d'édition : Decrescenzo
Date de sortie : Novembre 2013
ISBN : 9782367270067
Pages : 103
Prix : 12
Résumé : Dans ces Micro-fictions, suite de La bibliothèque des instruments de musique, l’auteur
nous entraîne, à partir des notes d’un vieux cahier, dans une quête
insensée de sa mère mystérieusement disparue dans un bus sans numéro,
dans un groupe de personnes unies par un lecteur MP3 révolutionnaire,
dans une amitié improbable entre deux artistes que tout sépare.
Dans une Corée aux valeurs
traditionnelles conservatrices, le narrateur, en prise avec l’obligation
de s’en tirer coûte que coûte n’hésite ni à inventer ni à détourner les
convenances nécessaires à vivre une vie qui ne doive rien aux autres.
MON AVIS : C'est un recueil de nouvelles coréen. Il y en a quatre en tout. Chacune a un but différent mais toutes ont un point commun : l'élément déclencheur. Je vais vous détailler chaque nouvelle pour que vous puissiez vous faire une idée.
Bouclier de verre : Cette nouvelle est assez étrange mais pourquoi. Deux personnes sont inséparables dans absolument tout ce qu'ils font. Je n'en dis pas plus volontairement. C'est assez surprenant. Les idées étranges des personnages donnent lieu tout de même à une réflexion sur l'amitié, sa durabilité ainsi que sur l'acceptation des responsabilités. On pourrait même parler de l'âge adulte.
J'ai toujours pas écrit les premiers mots : Cette nouvelle plaira à toutes personnes exerçant un métier en rapport avec l'écrit. Ici, il s'agit d'un homme écrivant les modes d'emploi d'une manière bine particulière. C'est assez loufoque de lire l'amour que porte cet homme au mode d'emploi. Cela reste une passion comme une autre. L'élément déclencheur est le fait que cette personne n'arrive pas à écrire le mode d'emploi d'un nouveau produit. La raison est très claire.
Bouclier de verre : Cette nouvelle est assez étrange mais pourquoi. Deux personnes sont inséparables dans absolument tout ce qu'ils font. Je n'en dis pas plus volontairement. C'est assez surprenant. Les idées étranges des personnages donnent lieu tout de même à une réflexion sur l'amitié, sa durabilité ainsi que sur l'acceptation des responsabilités. On pourrait même parler de l'âge adulte.
J'ai toujours pas écrit les premiers mots : Cette nouvelle plaira à toutes personnes exerçant un métier en rapport avec l'écrit. Ici, il s'agit d'un homme écrivant les modes d'emploi d'une manière bine particulière. C'est assez loufoque de lire l'amour que porte cet homme au mode d'emploi. Cela reste une passion comme une autre. L'élément déclencheur est le fait que cette personne n'arrive pas à écrire le mode d'emploi d'un nouveau produit. La raison est très claire.
Bus errant : Cette nouvelle est très touchante. Je ne sais pas dans quelle mesure je peux en parler. Tout ce que je peux dire, c'est que la mère du personnage centrale a disparu. Ce dernier va la chercher. Je ne dirai rien mais je l'ai trouvé pleine de douceur. Cette nouvelle permet de parler de la place de la femme et de la famille dans la société coréenne. La fin est très cohérente et subtile.
Piano mécanique : J'ai complètement craqué sur le titre. J'aime tellement la musique. Le son du piano me plaît beaucoup. Cette nouvelle ne pouvait que me plaire. On suite un pianiste très fier qui va découvrir un grand pianiste spécialisé dans les musiques de film. Ils ont tous les deux une conception du piano différentes. Je n'en dis pas plus non plus. Je l'ai trouvé sublime et surtout d'une cohérence incroyable. La réflexion qui est faite sur la musique et surtout sur les concerts est d'une justesse inouïe.
En bref, j'ai passé un très bon moment de lecture. C'est le genre de livre auquel vous penserez encore après et qui vous permettra de n'en retenir que l'essentiel.
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