D’après le film de Hiromasa Yonebayashi
Scénario : Riko Sakaguchi et Hiromasa Yonebayashi
Adapté du roman de Mary Stewart
Scénario : Riko Sakaguchi et Hiromasa Yonebayashi
Adapté du roman de Mary Stewart
Maison d'édition : Nobi Nobi
Date de sortie : 2 Février 2018
Pages : 112
Prix : 17,90
Résumé : C’est l’été. Mary vient d’emménager chez sa grand-tante dans le village
de Manoir Rouge. Dans la forêt voisine, elle découvre une fleur
mystérieuse qui ne fleurit qu’une fois tous les 7 ans. On l’appelle la
“fleur de la sorcière”. Pour une nuit seulement, grâce à la fleur, Mary
possèdera des pouvoirs magiques et pourra entrer à Endor, l’école la
plus renommée dans le monde de la magie, qui s’élève au-dessus du ciel,
au-delà des nuages.
Le secret de la fleur de la sorcière se révèlera à elle petit à petit…
Le secret de la fleur de la sorcière se révèlera à elle petit à petit…
MON AVIS : J'adore les éditions Nobi Nobi. Ce livre est une adaptation du film d'animation du même nom avec des captures du film à la place des dessins classiques que l'on trouve habituellement. Le texte ajoute des informations par rapport à l'image concernée. Les graphismes sont juste comme tout film d'animation japonais de qualités.
Concernant l'histoire, elle est très belle et peu rappeler pas mal de références littéraires. Je ne dis pas ça parce qu'il s'agit d'une adaptation littéraire mais parce que l'école m'a rappelé celles comme Poudlard ou dans Gardiens de cités perdus. Le mythe de la sorcière est exploitée tout en montrant que chacun utilise ses capacités en fonction de son éducation et de sa volonté.
Les personnages sont simples et sans fioritures. Mary s'ennuie. Elle est victime vraisemblablement de harcèlement du à ses cheveux roux. Elle va en apprendre beaucoup par le biais de son expérience. Peter est un jeune garçon qui cache ses pensées et se moque un peu de Mary.
C'est étonnant mais je remarque que dans beaucoup de films d'animations japonais, il y a un duo fille/garçon pour sauver ou éclaircir une situation. Que ce soit ici ou dans "princesse mononoke", "le château ambulant", "arriety..." ou encore "la colline au coquelicot", tous ont ce point commun. Je serais curieuse d'en connaître la raison.
En bref, cet album que je ne trouve pas si chère au vu de la qualité m'a bien plu. À défaut de pouvoir voir le film, c'est une bonne alternative. La maison d'édition propose également une version manga.
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