Autrice : Baronne Orczy
Maison d'édition : Archipel
Date de sortie : Janvier 2018
ISBN : 9782377351121
Pages : 322
Prix : 7,80
Résumé : 1792. Paris est aux mains des révolutionnaires, qui vouent les aristocrates à la geôle ou à la guillotine.
Un chevalier anglais se donne pour mission de leur épargner la mort en facilitant leur évasion outre-Manche. C’est le baron Percy Blakeney, champion du travestissement et as de la rapière, qui agit sous le nom de « Mouron rouge ». Même son épouse, une actrice française expatriée, ne sait rien des manigances de son mari et de ses téméraires lieutenants.
Jusqu’au jour où son frère est enlevé, menacé d’être tué si elle ne révèle pas au Comité de salut public l’identité du comploteur… L’agent Chauvelin, patriote fanatique, est quant à lui prêt à tout pour démasquer le Mouron rouge…
Un chevalier anglais se donne pour mission de leur épargner la mort en facilitant leur évasion outre-Manche. C’est le baron Percy Blakeney, champion du travestissement et as de la rapière, qui agit sous le nom de « Mouron rouge ». Même son épouse, une actrice française expatriée, ne sait rien des manigances de son mari et de ses téméraires lieutenants.
Jusqu’au jour où son frère est enlevé, menacé d’être tué si elle ne révèle pas au Comité de salut public l’identité du comploteur… L’agent Chauvelin, patriote fanatique, est quant à lui prêt à tout pour démasquer le Mouron rouge…
Coups de théâtre, passion et trahison : aucun des ingrédients du
genre ne fait défaut à ce fleuron du roman de cape et d’épée, à
mi-chemin entre Dumas et Paul Féval.
MON AVIS : Merci à la maison d'édition pour ce service presse.
Lorsque j'ai lu le résumé de ce livre, j'ai été vraiment intriguée. C'est à contre-courant des romans sur cette période historique. Le roman est vraiment addictif et remplie d'informations données l'air de rien. Le lecteur pénètre au sein de l'aristocratie et voit tout ces faux semblants et ce besoin impérieux de faire attention tout le temps aux apparences. La maison d'édition a fait le choix de conserver un minimum le style de l'époque sans que ce ne soit trop lourd. Cela nous pousse vraiment à l'époque des faits.
Lorsque j'ai lu le résumé de ce livre, j'ai été vraiment intriguée. C'est à contre-courant des romans sur cette période historique. Le roman est vraiment addictif et remplie d'informations données l'air de rien. Le lecteur pénètre au sein de l'aristocratie et voit tout ces faux semblants et ce besoin impérieux de faire attention tout le temps aux apparences. La maison d'édition a fait le choix de conserver un minimum le style de l'époque sans que ce ne soit trop lourd. Cela nous pousse vraiment à l'époque des faits.
Lorsque l'on rencontre Margueritte, on la déteste. Cependant, en quelques lignes, on change d'avis. On a mal pour elle. Ce personnage va nous mener de surprises en surprises. J'ai apprécié le fait que ses réactions soient réalistes. Certains jugeront que non mais je leur répondrai : que feriez-vous en pareil circonstance? Ne me souvenant pas du résumé, je me suis amusée à chercher qui était le mouron rouge (même si on nous le dit dans la préface. J'avais d'ailleurs un peu râlé). Au final, je comprends pourquoi on nous le dit dans le résumé. On le comprend pas tout de suite mais les indices sont vraiment gros. Je l'ai compris avant sa femme. Certes, elle avait de bonnes raisons de refuser à le comprendre mais bon.
Percy manipule bien son monde. On le prend vraiment, comme sa femme, pour un crétin fini alors qu'il est très certainement bien meilleur comédien que sa femme ne le sera jamais. Il excelle dans l'art d'espionner, de se déguiser et de manipuler les gens. Il aurait pu être magicien. Certains tiquent de langage m'ont un peu agacé au point que je les zappais mais il m'a vraiment amusé surtout une fois qu'on le vois vraiment en tant que mouron rouge. Les trois quarts de l'histoire étant écrite du point de vue de Margueritte, on ressent vraiment la même chose qu'elle. On se pose cent questions. Bref, on nous torture émotionnellement et ça en vaut la peine.
Percy manipule bien son monde. On le prend vraiment, comme sa femme, pour un crétin fini alors qu'il est très certainement bien meilleur comédien que sa femme ne le sera jamais. Il excelle dans l'art d'espionner, de se déguiser et de manipuler les gens. Il aurait pu être magicien. Certains tiquent de langage m'ont un peu agacé au point que je les zappais mais il m'a vraiment amusé surtout une fois qu'on le vois vraiment en tant que mouron rouge. Les trois quarts de l'histoire étant écrite du point de vue de Margueritte, on ressent vraiment la même chose qu'elle. On se pose cent questions. Bref, on nous torture émotionnellement et ça en vaut la peine.
En bref, j'ai adoré cette lecture. Si vous aimez les romans d'aventures, historique et un soupçon de romance, c'est un parfait mélange.
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