Ce livre n'est plus édité.
Résumé (leslibraires.fr) : À son arrivée à Paris pour résoudre une affaire de meurtres, lord
Spencer Fitzwilliam, agent spécial de ROSE, s’imaginait expédier cette
corvée en deux temps trois mouvements. C'était sans compter la
journaliste Rosaline Leprince et son engin diabolique, plus communément
appelé bicyclette. Ce qui aurait dû être une mission en solo devint le
pire cauchemar de l’Anglais. Il en serait venu à se demander si un
tête-à-tête avec le tueur en série n'aurait pas mieux valu que la
compagnie de la Parisienne excentrique…
MON AVIS : J'ai craqué pour ce roman rien que pour sa couverture. Elle est sublime n'est-ce pas? C'est normal. C'est Fleurine Rétoré qui l'a faite. Je ne le savais pas à ce moment-là, ne connaissant pas Fleurine mais maintenant ça ne m'étonne absolument pas. Quant à l'auteure, Fleur Hana, elle est connu pour ses romances. Est-ce que j'ai adhéré à son roman steampunk?
Et bien, globalement oui. Je dis bien globalement parce que malheureusement pour elle, tout n'est pas parfait. Concernant l'écriture, elle s'amuse avec un style très élégant tout en utilisant un style parfois plus urbain et actuelle. J'avais l'impression qu'elle s'amusait à casser les codes du genre. Ça ne m'a pas du tout gêné. Bien au contraire, j'ai trouvé ça jouissif. Elle joue également avec les mots et expressions typiquement françaises. Soit vous êtes ouverts d'esprits et en souriez soit vous passez votre chemin.
Vous savez que je suis exigeante concernant le steampunk. Ici, j'ai eu ce que je voulais. Ce n'est pas le meilleur mais le contrat est respecté, ne serait-ce que par l'époque et les personnages. Les décors sont plantés, le Paris d'époque avec ses calèches, son Moulin Rouge ainsi que les tenus et la bienséance...sauf pour Rosaline.
En effet, Rosaline est officiellement secrétaire dans un journal. Officiellement, elle signe les unes de presse. Déjà, pour l'époque, quelle horreur! Si on ajoute à ça, le fait qu'elle relève ses jupes sans arrêt, qu'elle fume et qu'elle a un caractère bien trempé...je pense que vous avez compris. À ça, ajoutez un Lord anglais complètement rempli de principes et toujours à courir après la bienséance...Leur rencontre va provoquer un séisme. Ce qui m'a plus, c'est qu'il n'y a pas eu de romance entre les deux. Bien au contraire, ils se détestent cordialement. J'ai beaucoup aimé les deux totalement à l'opposé l'un de l'autre.
Vous savez que je suis exigeante concernant le steampunk. Ici, j'ai eu ce que je voulais. Ce n'est pas le meilleur mais le contrat est respecté, ne serait-ce que par l'époque et les personnages. Les décors sont plantés, le Paris d'époque avec ses calèches, son Moulin Rouge ainsi que les tenus et la bienséance...sauf pour Rosaline.
En effet, Rosaline est officiellement secrétaire dans un journal. Officiellement, elle signe les unes de presse. Déjà, pour l'époque, quelle horreur! Si on ajoute à ça, le fait qu'elle relève ses jupes sans arrêt, qu'elle fume et qu'elle a un caractère bien trempé...je pense que vous avez compris. À ça, ajoutez un Lord anglais complètement rempli de principes et toujours à courir après la bienséance...Leur rencontre va provoquer un séisme. Ce qui m'a plus, c'est qu'il n'y a pas eu de romance entre les deux. Bien au contraire, ils se détestent cordialement. J'ai beaucoup aimé les deux totalement à l'opposé l'un de l'autre.
Petit bémol : Je trouvais que ça manquait d'originalité. Je m'explique. On tourne encore sur une enquête s'inspirant de ceux de Jack l'éventreur même si là, c'est loin de l'horreur de jack l'éventreur. Les clichés sont présents (l'homme sur le terrain et la femme à la maison même si je pense qu'elle voulait dénoncer ça mais un peu gros...Et avec Rosaline, c'est juste impossible de lui dire ça). Les scènes un peu attendus à part concernant le père de Rosaline. Je ne m'y serais jamais attendue. J'ai eu une tendresse inouïe pour lui dès son apparition.
En bref, j'ai passé un agréable moment. Apparemment, une suite était prévue mais étant donné que ce tome là est introuvable, je pense que je peux faire une croix sur la suite que j'aurais quand même lu avec plaisirs. Juste pour le plaisir de voir Rosaline décontenancer encore plus le lord mais aussi sa mère.
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