Auteur : Louis Raffin
Maison d'édition : Glyphe
Date de sortie : Novembre 2019
ISBN : 978-2-35285-116-5
Pages : 102
Prix : 10
Résumé : Quand un voleur en cavale pousse la porte d'un monastère tibétain, il
cherche juste un refuge. Dans ce lieu insolite, une rencontre
providentielle va bouleverser son existence. Sept jours plus tard, c'est
un homme nouveau qui retournera chez lui. Sept jours pour renaître est
un court récit sur la découverte du bouddhisme tibétain par un
Occidental matérialiste et désabusé.
MON AVIS : Ce livre est le premier que j'ai lu cette année. Je crois que je m'en souviendrai longtemps. Je l'ai lu en une seule fois après un manga éprouvant. J'avais besoin de me détendre et ce roman était parfait pour ça.
L'intérêt de ce roman est dans la discussion qu'entretienne les deux personnages principaux. On est vraiment dans une découverte du bouddhisme. L'auteur pousse le lecteur à se faire sa propre réflexion sur l'essentiel. Certes, la situation de départ n'est pas la meilleure et semble même bancale au regard de la suite mais, au contraire, ça nous permet de voir ce que le bouddhisme peut apporter.
Ce roman n'est pas seulement une découverte du bouddhisme mais également sur la vie, l'impact de l'argent sur chacun, le pouvoir et surtout montre l'importance de revenir à la base de la vie afin de se souvenir de l'essentiel.
En bref, ce roman fait du bien. On se souvient de son essence principalement et pendant longtemps.
L'intérêt de ce roman est dans la discussion qu'entretienne les deux personnages principaux. On est vraiment dans une découverte du bouddhisme. L'auteur pousse le lecteur à se faire sa propre réflexion sur l'essentiel. Certes, la situation de départ n'est pas la meilleure et semble même bancale au regard de la suite mais, au contraire, ça nous permet de voir ce que le bouddhisme peut apporter.
Ce roman n'est pas seulement une découverte du bouddhisme mais également sur la vie, l'impact de l'argent sur chacun, le pouvoir et surtout montre l'importance de revenir à la base de la vie afin de se souvenir de l'essentiel.
En bref, ce roman fait du bien. On se souvient de son essence principalement et pendant longtemps.
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