Autrice : Maiwenn Alix
Maison d'édition : Milan
Date de sortie : Août 2018
ISBN : 978-2745990921
Pages : 408
Prix : 16,90
Résumé : Dans un futur postapocalyptique, les humains vivent dans de petites
implantations agricoles, travaillant à régénérer les écosystèmes
endommagés. Chaque individu est connecté au Système. À travers ce vaste
réseau numérique, les gens peuvent communiquer par la pensée et visiter
pendant leur sommeil des "rêves éveillés", des rêves si réels qu'ils
permettent aux membres du Système de vivre une existence virtuelle en
parallèle de leur vie dans l'implantation.
Chaque nuit, les adolescents s'affrontent dans des épreuves de construction de rêves. Le jour de la Répartition, les plus doués quitteront leur implantation pour consacrer leur vie à l'élaboration des rêves éveillés.
Brutalement arrachée au Système alors qu'elle est sur le point de remporter le Tournoi des constructeurs, Lani découvre un monde "hors connexion", dans lequel son pouvoir d'élaborer des rêves lui offre un destin inattendu.
Chaque nuit, les adolescents s'affrontent dans des épreuves de construction de rêves. Le jour de la Répartition, les plus doués quitteront leur implantation pour consacrer leur vie à l'élaboration des rêves éveillés.
Brutalement arrachée au Système alors qu'elle est sur le point de remporter le Tournoi des constructeurs, Lani découvre un monde "hors connexion", dans lequel son pouvoir d'élaborer des rêves lui offre un destin inattendu.
MON AVIS : Voilà mon dernier livre lu dans le cadre du challenge de Frogzine pour l'année 2018. Le thème était la science fiction. On est en plein dedans avec les nouvelles technologies qui s'implantent dans le cerveau. Ce livre est un véritable paradoxe pour moi. En quoi? Lisez la suite pour comprendre.
Le début du livre nous décrit la vie au sein du Système. Elle semble idyllique, parfaite et pleine de bons sentiments. Heureusement, l'autrice ne s'attarde pas sur cette partie. De toute façon, il y a peu de choses à en dire. C'est lorsque Lani se fait enlever que tout bascule. Et l'histoire devient complètement addictive. J'ai eu beaucoup de mal à m'arrêter de le lire. En plus, l'autrice manipule bien son lecteur en terminant chaque chapitre sur un énorme suspens.
Le début du livre nous décrit la vie au sein du Système. Elle semble idyllique, parfaite et pleine de bons sentiments. Heureusement, l'autrice ne s'attarde pas sur cette partie. De toute façon, il y a peu de choses à en dire. C'est lorsque Lani se fait enlever que tout bascule. Et l'histoire devient complètement addictive. J'ai eu beaucoup de mal à m'arrêter de le lire. En plus, l'autrice manipule bien son lecteur en terminant chaque chapitre sur un énorme suspens.
Les deux mondes qui s'opposent sont le monde connecté à celui qui ne l'est pas. En tant que lectrice, j'ai eu le sentiment qu'on était vraiment entre deux époques: la futuriste avec les personnes possédant un implant connectant tout le monde et un autre où l'on pourrait se penser loin dans l'histoire (je n'ai pas d'époque précise en tête). J'ai trouvé cette idée très intéressante. Il exploite les dangers de la technologie.
Le paradoxe réside dans les classiques utilisés dans l'intrigue. J'ai senti venir à des kilomètres la romance et je ne parle pas de la fin du premier tome. Je n'ai pas été étonné du choix de l'intrigue mais le pire, c'est que ça marche quand même. Ça marche parce que les personnages sont attachants et la romance loin d'être niaise. L'explication réside dans le romans et dans le centre même de l'intrigue. Je ne peux donc pas vous en dire la raison exact.
Le point fort, à mon sens, est le chef des non connecté, Socrate. Déjà son prénom m'a pas mal interpellé mais en plus, je le trouve très honnête. Il ne promet rien mais cherche des solutions. Ça change un peu des dystopies traditionnelles dans lesquelles on a vraiment deux façon de penser opposées. Socrate est plus nuancé.
En bref, j'ai passé un excellent moment avec ce roman malgré les deux points classiques du genre qui ne m'ont pas tant gêné que ça au final. Peut-être parce qu'on ne s'y attarde pas.
Le paradoxe réside dans les classiques utilisés dans l'intrigue. J'ai senti venir à des kilomètres la romance et je ne parle pas de la fin du premier tome. Je n'ai pas été étonné du choix de l'intrigue mais le pire, c'est que ça marche quand même. Ça marche parce que les personnages sont attachants et la romance loin d'être niaise. L'explication réside dans le romans et dans le centre même de l'intrigue. Je ne peux donc pas vous en dire la raison exact.
Le point fort, à mon sens, est le chef des non connecté, Socrate. Déjà son prénom m'a pas mal interpellé mais en plus, je le trouve très honnête. Il ne promet rien mais cherche des solutions. Ça change un peu des dystopies traditionnelles dans lesquelles on a vraiment deux façon de penser opposées. Socrate est plus nuancé.
En bref, j'ai passé un excellent moment avec ce roman malgré les deux points classiques du genre qui ne m'ont pas tant gêné que ça au final. Peut-être parce qu'on ne s'y attarde pas.
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