Autrice : Amélia Varin
Autoédition
En attente pour le format papier / Déjà disponible en ebook
Pages : 17
Prix : 0,99
Résumé : "Le vent souffle, emportant les feuilles mortes. Posé sur le rebord de
la fenêtre, l'oiseau prend son envol. J'aimerais tellement le suivre.
Planer vers la liberté."
Même lorsqu'on souffre, qu'on pense qu'il n'existe qu'une seule échappatoire, une petite lueur apparaît. Inattendue. Et doucement, le sourire revient. Tellement beau, tellement vrai. Et c'est en déployant ses ailes, que l'on s'envole vers de nouveaux horizons...
Même lorsqu'on souffre, qu'on pense qu'il n'existe qu'une seule échappatoire, une petite lueur apparaît. Inattendue. Et doucement, le sourire revient. Tellement beau, tellement vrai. Et c'est en déployant ses ailes, que l'on s'envole vers de nouveaux horizons...
MON AVIS : Merci à Amélia Varin pour ce service presse que j'ai lu dans la foulée. Il s'agit d'une nouvelle sur le harcèlement à l'école et les violences domestiques. Dès que l'autrice m'a proposé cette nouvelle sur ce thème là, j'ai accepté. C'est un thème qui me touche beaucoup. Non seulement, de part le travail que j'ai pu exercer mais également parce que j'en ai été victime. Je ne m'attendais pas à ce que cette nouvelle sonne aussi juste.
On rencontre Éléa, la victime de harcèlement. Rien que dans la description de ses sentiments, je me suis retrouvée comme j'étais avant. J'avoue que ça m'a fait un choc. J'étais bien trop en phase avec elle. Je pouvais comprendre chaque mot écrit et ce qu'ils impliquent. L'autrice montre très bien que le harcèlement commence par une personne et que les autres suivent volontairement ou non. L'effet mouton qui suit le berger si vous voyez ce que je veux dire. Et c'est tellement ça.
On rencontre Éléa, la victime de harcèlement. Rien que dans la description de ses sentiments, je me suis retrouvée comme j'étais avant. J'avoue que ça m'a fait un choc. J'étais bien trop en phase avec elle. Je pouvais comprendre chaque mot écrit et ce qu'ils impliquent. L'autrice montre très bien que le harcèlement commence par une personne et que les autres suivent volontairement ou non. L'effet mouton qui suit le berger si vous voyez ce que je veux dire. Et c'est tellement ça.
La raison du harcèlement est un peu dur à avaler. Néanmoins, ça montre bien que ça commence souvent pour rien car comme c'est si bien dit dans cette nouvelle, dans toute société, il faut un souffre-douleur. L'autrice montre aussi que certains ne laissent pas les choses se faire, montre aussi les failles de l'école qui s'aveugle ou ne sait pas faire face. Le seul point sur lequel je reste sceptique, c'est l'écrit de l'autrice à la fin de la nouvelle. J'ai un peu de mal à croire que tous les bourreaux sont ou ont été forcément victimes. J'en sais quelque chose.
En bref, cette nouvelle m'a pas mal perturbé et me perturbe encore tant cela reflète parfaitement le ressenti d'une personne victime de harcèlement. Quelques pages de plus et je pleurai. J'ai quand même la gorge nouée et j'avoue que ça m'a renvoyé au peu que j'ai pu vivre.
En bref, cette nouvelle m'a pas mal perturbé et me perturbe encore tant cela reflète parfaitement le ressenti d'une personne victime de harcèlement. Quelques pages de plus et je pleurai. J'ai quand même la gorge nouée et j'avoue que ça m'a renvoyé au peu que j'ai pu vivre.
Une nouvelle qui perturbe et qui remue. Je ne sais pas si tous les bourreaux ont un jour été victime, mais certains l'ont bel et bien été, c'est certain.
RépondreSupprimerJe rejoins ta chronique sur de nombreux points, j'ai hâte de découvrir d'autres nouvelles de l'auteure.
Merci. Moi aussi, j'espère en découvrir d'autres.
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