Mangaka : Kei Ohkubo
Maison d'édition : Komikku
Date de sortie : 1 décembre 2016
ISBN : 9782372871808
Pages : 190
Résumé : Florence, début du 16e siècle.
Dans ce berceau de la Renaissance, qui vit l’art s’épanouir dans toute
sa splendeur, une jeune aristocrate prénommée Arte rêve de devenir
artiste peintre et aspire à entrer en apprentissage dans un des nombreux
ateliers de la ville… Hélas ! Cette époque de foisonnement culturel
était aussi celle de la misogynie, et il n’était pas concevable qu’une
jeune femme ambitionne de vivre de son art et de son travail. Les
nombreux obstacles qui se dresseront sur le chemin d’Arte auront-ils
raison de la folle énergie de cette aristo déjantée ?
MON AVIS : Dans ce tome, on perd un peu la jeune femme déjantée que l'on croise. Certes, pas longtemps mais tout de même. Du coup, j'ai été un petit peu déçue. J'adore Arte. Elle est fraîche, complètement tarée et elle sait ce qu'elle veut. Un ovni pour l'époque. Mais pas ici. Heureusement, à la fin on la retrouve telle qu'elle est. Néanmoins, je crois que ce qui me manque également c'est le duo qu'elle formait avec son maître, Léo. Son sale caractère combiané avec celui de arte donnait lieu à des scènes cultes pour moi. Alors qu'ici avec Caterina, la jeune fille dont elle a la charge, ce n'est pas la même chose.
Malgré tout ça, il y a tout de même des points positifs : le côté féministe de ce manga est de retour. On pourrait dire "dommage que la passion de Caterina soit ça" mais pour l'époque une aristocrate passionnée par une tâche indue au personnel de maison? Vous avez une idée du choc que ça peut causer? Donc on pardonne. Il ne faut pas oublier l'époque à laquelle nous évoluons. La passion pour l'art de Arte ne s'est pas arrêtée. Bien au contraire mais on la voit moins.
Malgré tout ça, il y a tout de même des points positifs : le côté féministe de ce manga est de retour. On pourrait dire "dommage que la passion de Caterina soit ça" mais pour l'époque une aristocrate passionnée par une tâche indue au personnel de maison? Vous avez une idée du choc que ça peut causer? Donc on pardonne. Il ne faut pas oublier l'époque à laquelle nous évoluons. La passion pour l'art de Arte ne s'est pas arrêtée. Bien au contraire mais on la voit moins.
En bref, un tome un peu en-dessous de d'habitude. On verra au prochain rendez-vous.
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